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706 interventions trouvées.

Le rapporteur et Mme la ministre ont parfaitement raison. Le problème est réel. Mais nous ne pouvons pas le résoudre au détour d'un amendement. Cela suppose une discussion et, sans doute, d'autres dispositions législatives.

Cette définition émane peut-être de l'OMS, elle ne m'en paraît pas moins idiote et inutile. Être en bonne santé, c'est évidemment être bien portant sur les plans physique, mental et social.

Le moment est venu d'en finir avec les vieilles définitions, les vieilles lunes et de mener un travail novateur. Reprendre une telle définition, j'insiste, est idiot ! Et ce n'est pas parce qu'elle a été établie par l'OMS que le code de la santé publique doit s'aligner, les mains le long du corps. Arrêtez donc !

Je présente mes excuses au rapporteur, mon ami Jean-Marie Rolland, car je partage l'avis de Mme la ministre. Il y a une cohérence dans la réforme, et il convient de la respecter. On peut être pour ou contre la réforme, mais le pire serait d'en prendre certains éléments et d'en garder certains de l'actuelle gouvernance. Cet amendement va contre ...

Patrick Bloche a évoqué le souvenir de François Mitterrand. Je m'honore d'avoir été cinq ans le ministre de ce président.

De grâce ! François Mitterrand n'a jamais pratiqué la séparation des pouvoirs, s'agissant des médias, et je ne crois pas que l'on ait jamais pu s'opposer à une nomination décidée par lui,

qu'il savait imposer par tel ou tel moyen. En ce qui concerne les pouvoirs du Président de la République et du Premier ministre, je rappellerai ce qu'étaient les conseils des ministres de François Mitterrand : quand le Premier ministre ne lui plaisait pas, il n'ouvrait même pas le dossier du conseil !

De même, j'ai commencé ma carrière comme conseiller technique auprès d'Yvon Bourges, qui était alors secrétaire d'État dans le gouvernement de Georges Pompidou. Mes chers collègues, de Pompidou à Nicolas Sarkozy, rien n'a changé : le Président de la République est le monarque républicain, il fait ce que bon lui semble, et, dans la majorité, nou...