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Très bien !
Vous avez raison !
J'ai appartenu, de 1988 à 1993, à un gouvernement à majorité socialiste. Nous avons eu ce débat à plusieurs reprises, et notamment entre nous dans le gouvernement Rocard, en 1988, lorsque nous avons instauré le plafonnement je m'honore d'ailleurs d'avoir proposé cette disposition.
J'ai ensuite été ministre de l'agriculture de 1992 à 1993. Nous avons à nouveau eu ce débat sur la forêt et nous avons tous conclu que nous ne pouvions pas revenir sur les exonérations. Puis, Michel Bouvard l'a rappelé, une loi a été votée à l'unanimité. Je crois que nous ne pouvons pas revenir, aujourd'hui, sur des exonérations que les différ...
Nous ne pouvons pas développer une politique forestière en commençant par supprimer les quelques avantages que la forêt peut avoir dans notre pays. Pour les oeuvres d'art je n'aurai pas à le redire tout à l'heure , il y a un marché international de l'art. Face à New York, Londres ou Bâle, Paris ne représente qu'une sous-préfecture de provin...
Très bien !
Très bien !
Très bien !
Ne soyez pas méprisant !
Madame la présidente, je demande la parole pour un fait personnel !
Madame la présidente, je demande la parole pour un rappel au règlement.
Madame la présidente, j'ai été gravement mis en cause
Je n'admets pas que des députés de l'opposition mettent en cause des collègues de la majorité pour des faits qu'ils leur imputent. M. Noël Mamère peut toujours rêver d'un accord que j'aurais pu conclure avec le Front national ! Puis, je l'ai entendu développer son argumentation et vouer aux gémonies le ministre de l'intérieur. Je me suis dit :...
Je nous voyais descendre, l'un et l'autre, dans l'Enfer de Dante, où nous trouvions M. Mamère condamné pour ses contrevérités, ses légèretés et ses dérapages ! Quelle mauvaise image de la représentation nationale a-t-il donnée ! (« Très bien ! » et applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
C'est essentiellement vers mes collègues de l'UMP que je me tourne. Le moment est difficile, mais nous allons voter parce que c'est la règle d'or de la Ve République.
Un président et un Gouvernement fixent les règles, et la majorité les approuvent et les votent.
Laissez-moi continuer, monsieur Gremetz, car mon ancienneté est supérieure à la vôtre : je suis là depuis quarante-deux ans. J'en ai vu d'autres et aussi des moments à peu près semblables à celui-ci sous toutes les majorités. La majorité va s'enorgueillir de voter le budget ce soir, malgré le sentiment qu'elle peut éprouver à l'égard de telle ...
Nous avons voté la Constitution ; nous suivons le Président de la République et le Gouvernement qu'il a nommé. Pour le reste, nous laissons la critique à l'opposition. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Aucun risque !
Nous débattons de ce sujet depuis deux ans. C'est un débat très important, et je le dis comme ancien ministre de l'agriculture. Je me tourne vers le rapporteur général. Ce que vient de dire M. Jacob est exact. C'est un amendement d'affichage plus qu'un amendement financier ou budgétaire. Un certain nombre d'opérations ont été engagées. L'État ...