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De toute façon, il faut l'unanimité ; or unanimité il n'y a point ; donc, de traité de Lisbonne, il n'y a plus ! C'est ce dont nous vous proposons de prendre acte.

Pourquoi ? (« Parce que ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)

Je sais bien qu'il est tard, mais nous sommes des constituants, paraît-il. Et nous conclurions ce débat à l'esbroufe ? Certainement pas. Même si nos compatriotes dorment à l'heure qu'il est

il faut qu'ils sachent ce qu'il en est. Votre texte confirme la dérive monarchique du pouvoir. L'illustre notamment le droit d'intervention devant le Parlement accordé au Président de la République comme on passe un caprice à un enfant à la veille de Noël : celui-ci pourra s'exprimer devant nous, sans que nous puissions, nous, débattre de so...

Cela m'étonne de votre perspicacité ! (Sourires.) Monsieur le président, madame la garde des sceaux, monsieur le secrétaire d'État, votre démarche est dérisoire au regard des préoccupations qui sont celles de nos concitoyens, et de leurs difficultés à vivre et à imaginer l'avenir de leurs enfants. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une nouvel...

On nous le répète depuis un an, le Président de la République a été élu pour faire ceci, il a été élu pour faire cela

Il reste pourtant quelques gaullistes sur ces bancs, même si je n'en vois pas beaucoup. Ils sont réduits à des vestiges, mais encore bien vivants.

Quand je qualifie ainsi Bernard Debré, Jean-Pierre Grand et quelques autres, c'est tout à leur honneur ! Le Président de la République, je le rappelle, avait aussi promis d'être le Président du pouvoir d'achat.

Si vous jugez que certaines promesses doivent être tenues et d'autres non, vous nous servez là un faux argument. Le général de Gaulle, lorsqu'il organisait un référendum, avait l'habitude de faire trancher deux ou trois questions par une seule réponse.

Si l'on suit votre logique, ce sont des centaines de questions qui auraient eu une réponse unique lors de l'élection présidentielle. Je pense donc, monsieur Lagarde, que vous ne croyez pas un mot de ce que vous dites.