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J'ai écouté notre collègue avec autant d'intérêt que de perplexité. C'est un débat trop complexe pour qu'on le tranche aujourd'hui. Nous verrons tout cela dans cinquante ans ! (Sourires !)
Parlez pour vous !
Cet amendement, déjà présenté en première lecture, n'avait pas suscité de réponse claire de la part du Gouvernement et de la commission. L'article 26 soulève pourtant des problèmes de fond. Premier problème : l'instauration d'un contrôle de constitutionnalité a priori, avant la promulgation de la loi. De ce point de vue, le rôle du Conseil co...
Vous voulez plutôt dire que les Prussiens se sont servis !
Mes chers collègues d'Alsace-Moselle, nous avons beaucoup de respect pour vous, mais il est des sujets dans notre pays dont on sait que, s'ils sont soumis à la discussion, il n'est pas certain qu'ils fassent consensus. Le seul consensus dont ils soient l'objet, c'est qu'il est préférable de ne pas les évoquer... La sagesse commande de respecter...
Ce n'est pas ce que j'ai dit !
Ce n'est pas la peine de l'exhiber non plus !
Voilà bien la sagesse alsacienne !
Défendu.
Demandez à Mme Lagarde ! (Sourires.)
Nous devrions, s'agissant du recul du français dans le monde, nous interroger sur notre propre responsabilité et sur l'inanité des politiques menées en faveur de la francophonie : les moyens qui lui sont dévolus sont médiocres et nous sommes incapables d'utiliser l'espace francophone comme un levier de la coopération économique. Pour en reveni...
Tout à fait, monsieur le président.
À la guillotine !
Tu parles !
Tout cela est illégitime, c'est la démocratie de l'élastique. Qui va décider s'il y a un problème majeur ou pas pour l'adhésion de tel ou tel ?
À la majorité des trois cinquièmes, certes, mais vous avez la mémoire courte : rappelez-vous 2005 !
À 90 %, les parlementaires voulaient adopter le traité et, à 55 %, les Français vous ont donné un coup de pied aux fesses fort légitime. Vous voyez donc bien que la majorité des trois cinquièmes, ce n'est pas satisfaisant. Imaginons que, demain, le Vatican veuille adhérer : un État théocratique. Qui va décider si cela pose un problème ou pas. ...
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, au risque de vous être désagréables, à vous et à nos collègues de l'UMP, mais avec l'avantage appréciable d'être républicains, nous tenons à vous rappeler que le traité de Lisbonne est mort et enterré
depuis le vote sans appel de nos amis irlandais, qui se sont exprimés comme nous le fîmes nous-mêmes en 2005. Dans ce contexte, notre amendement est simplement de cohérence : il n'y a plus aucune raison d'évoquer comme vous le faites, certainement par esprit de provocation (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement po...
En effet, après les Irlandais, c'est M. Kaczynski et le Président de la République tchèque qui s'y mettent.