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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

107 interventions trouvées.

Vous voulez censurer Le Monde, mon cher collègue ? Je sais bien que le Président de la République a prévu de museler l'audiovisuel public dans des conditions qui ont été débattues ici même, mais laissez au moins la presse qui n'est pas assujettie à l'État s'exprimer librement et rendre compte de la réalité ! Dans les propos de Mme Lagarde ou d...

C'est une source qui vous est proche, madame Lagarde et monsieur Woerth : parmi les 14 000 bénéficiaires, le ministère du budget et des comptes publics a isolé c'est une curieuse formule, mais je ne suis pas contre, puisqu'on crée des centres de rétention pour les travailleurs immigrés dont le seul défaut est de ne pas avoir les bons papiers ...

Michel Raison, par exemple, dit qu'il ne peut pas croiser quelqu'un sur le trottoir sans que celui-ci lui demande plus de solidarité. Pierre Cardo dit que, pour apaiser les tensions et montrer qu'ils ne sont pas idéologiquement bloqués ce qui est difficile à démontrer

il serait bon de modérer ou de suspendre momentanément le bouclier fiscal. Notre excellent collègue Michel Piron, quant à lui, dit que l'effort de solidarité n'est pas seulement recommandable, mais relève du devoir. Comme vous pouvez le constater, madame la ministre, monsieur le ministre, avec les collègues que je viens de nommer et d'autres...

Et plus il y a de diversité, surtout à droite, mieux c'est ! Cela montre que notre pays ne va vraiment pas bien, ce dont on ne peut se réjouir, et que certains de nos collègues, qui ne sont pas totalement autistes, pensent qu'ils auront peut-être un jour des comptes à rendre à nos concitoyens. Le Président de la République a dit qu'on allait v...

 « et qui, quand ces nécessités seront transformées, est appelée, comme nous le proclamons, à faire place à un type nouveau de propriété collective sociale. » Je vous invite à réfléchir, madame la ministre, à ces propos prononcés à cette tribune même, le 4 mars 1904, car leur actualité est éblouissante. À la différence des États-Unis ou du Roy...

Ce qu'il vous manque, madame la ministre, monsieur le ministre, c'est une vision stratégique. Ce qu'il vous manque, c'est une analyse de la crise de nature à vous permettre de proposer des transformations en lieu et place de vos cataplasmes. Mais précisément, le formatage idéologique dans lequel vous êtes enserrés vous rend la chose impossible ...

en vous rappelant qu'il faut écouter les Français qui se lèvent tôt, ceux qui triment, ceux que vous enfoncez dans la souffrance et la désespérance. Écoutez plutôt cette citation d'un homme remarquable : « Dans les pires drames de notre histoire, c'est du peuple laborieux que se levèrent toujours les grandes vagues profondes dont la patrie so...

Madame la présidente, monsieur le ministre du budget, monsieur le ministre en charge du plan de relance, mes chers collègues, pour une fois, je ne vais pas incriminer le Gouvernement mais nos conditions de travail. Hormis le fait que le Palais Bourbon est glacial, tout particulièrement la bibliothèque qui est en ce moment l'endroit idéal pour g...

Monsieur Devedjian, vous qui m'interpellez, ne pensez-vous pas qu'il serait bon que vous soyez aussi le ministre de la relance de la démocratie sociale, même si ce n'est pas un exercice dans lequel vous excellez ? Quant à ces pays auxquels vous faites allusion, vous les avez fréquentés beaucoup plus que moi. J'ai attendu les dernières années d...

Monsieur le rapporteur, vous avez indiqué que des mesures avaient déjà été prises en faveur des plus modestes, mais il faut bien avoir à l'esprit que ce sont eux que la TVA frappe plus particulièrement. Aussi réduits soient leurs revenus, ils doivent acquitter le même taux de TVA que les autres, qui pèse davantage en proportion dans leur budget...

Vous aviez plus de vingt ans, monsieur Devedjian, en 1976 ! Rappelez-vous donc ! La maladie d'Alzheimer vous a-t-elle déjà frappé ?

Je sens notre excellent rapporteur général en difficulté, au point de sentir obligé de faire preuve d'une mauvaise foi qui ne lui est pas coutumière, pour répondre à Jean-Claude Sandrier mauvaise foi du reste partagée par le ministre. Nous ne sommes pas du tout hors sujet : vous cherchez des sous, nous vous aidons à en trouver. Vous parlez d...

On comprend que vous ayez le plus grand mal à vous libérer de vos chaînes, qui sont celles du capital.

Ce sont des chaînes en or qui vous rivent à leurs intérêts (Rires), et c'est ce que n'arrivent pas à surmonter ni les ministres ni le rapporteur général du budget.

M. Devedjian a fait tout à l'heure quelques remarques sur mes références culturelles. Je pense qu'il est préférable d'en avoir plutôt que d'être dépourvus de toutes références culturelles. Celui que j'évoquais parlait et écrivait seulement couramment le grec, le latin, l'allemand, le français et l'anglais, peut-être parce qu'il était cultivé. ...

Vous nous dites, monsieur le ministre, que des députés étaient favorables à cette disposition. Mais, depuis qu'elle a été adoptée, elle a fait l'objet d'une grande publicité ; les intéressés viennent consulter les parlementaires et nous voyons la réalité de plus près. Nous sommes à nouveau tombés dans l'improvisation législative en disant « n...

Eh bien, c'est cette femme que vous frappez ! Et en réduisant son pouvoir d'achat, par ricochet, vous réduisez celui de sa fille, dont bénéficie sa petite-fille. M. le rapporteur général lui-même reconnaît que la dégressivité sur deux ans, c'est un peu court, et qu'il faudrait la porter à cinq ans. Mais nous sommes cartésiens, paraît-il, alors...

Le ministre n'a rien dit des chiffres que j'ai cités concernant l'économie fiscale faite sur le dos des veuves. Or il faut rapprocher le débat que nous avons sur l'amendement n° 57 de notre discussion de tout à l'heure. Cette fois, MM. Scellier, Piron et Woerth ont mis leur tablier, sorti le rouleau à pâtisserie et un paquet de farine, et les ...

Non, c'est de la pâtisserie, de la pâtisserie de luxe ! Après avoir aplati les veuves, vous beurrez la tartine des investisseurs ! Si le dispositif Robien était véritablement un levier pour l'investissement et le développement de l'activité économique, nous aurions pu en discuter, mais nous connaissons ses effets pervers. Vis-à-vis des veuves...