Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier
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M. Raoult sourit à mes propos qu'il apprécie en connaisseur : il est vrai qu'il est le fakir de la Seine-Saint-Denis et qu'il marche sur les clous, voire parfois sur des braises ardentes rouges bien sûr ! Votre rôle et de faire prendre des vessies pour des lanternes au peuple français : vous voulez lui faire croire que nous sommes solidaires...
Comme je n'ai pas beaucoup de temps et que j'entends déjà par anticipation le président Accoyer m'interrompre, je reviendrai plus largement sur ces sujets lors de l'examen des articles. Je souhaite maintenant appeler votre attention sur ceux qui vont bien et ceux qui vont mal. Pour ce faire, je vais vous montrer les profits de Total, de BNP et...
C'est un article de presse, monsieur le président. N'oubliez pas que la liberté de la presse est sacrée. Je vous l'ai déjà dit : si vous ne vous prenez pas pour celui que vous n'êtes pas, je vous épargnerai des références désagréables
Regardez, monsieur le ministre, ces grands groupes qui s'en mettent plein les poches ! Et vous, que leur prenez-vous en contrepartie ? Rien du tout, parce que leurs poches sont cousues et que vous ne voulez pas leur faire d'indélicatesse. Pourtant, ils ont de l'argent. Pourquoi ne les mettriez-vous pas à contribution plutôt que de mettre les Fr...
Vous menez donc une politique à double entrée : d'un côté, vous beurrez la tartine des privilégiés, et de l'autre, vous tirez sur le bout de la ceinture des Français pour la serrer de plus en plus. Notre rôle est d'expliquer la vérité pour que nos concitoyens comprennent bien que de l'argent, il y en a, et que vous servez en quelque sorte de gi...
Quant à vous, monsieur Carrez, n'allez pas chercher d'exemples outre-Rhin : l'histoire nous a appris à nous en méfier un peu Vous devriez consulter un ORL car vous n'entendez pas des deux oreilles en même temps. Je n'ai pas entendu les mêmes choses que vous. Les Allemands étaient moins laudateurs que vous avez bien voulu le dire, et nos amis d...
Il nous reste beaucoup d'amendements à examiner. Certains collègues m'ont fait remarquer ce matin à la buvette qu'ils avaient des obligations ce week-end. Dans notre État laïque, il en est même qui, le dimanche matin, vaquent à des activités particulières pour le salut de leur âme. (Sourires.) Monsieur le président, êtes-vous en mesure de nous...
Vous aussi, monsieur Carrez, mais vous venez de moins loin : depuis Le Perreux, vous pouvez venir ici en bateau, comme le ministre à partir de Bercy.
Monsieur le président, je veux ajouter ma voix au choeur de protestations de mes collègues. Les gens qui ont déjà les poches pleines sont-ils à ce point âpres au gain et mesquins qu'ils osent tendre la main ou que vous la tendiez pour eux, monsieur Mariton pour obtenir ces 300 petits euros ? En vous écoutant tout à l'heure, je me demandais ...
Quant à vous, monsieur le ministre, vous n'avez toujours pas répondu à la question que je vous ai posée, portant sur bien plus de 300 euros. On sait que vous aimez distribuer de l'argent, pourvu que les bénéficiaires soient déjà « friqués », si vous me permettez cette expression triviale. Est-il vrai que grâce à votre réforme, Mme Bettencourt v...
Ne pensez pas vous en tirer à si bon compte, monsieur le ministre ! Je demande une suspension de séance, afin que nous organisions la campagne contre vous et que tous les Français puissent bien entendre le tintement de votre grelot.
Je vais une fois encore faire de la pédagogie politique : quand le Gouvernement fait des cadeaux, il préfère que l'opinion ne sache pas combien cela coûte aux contribuables. Je rappelle que j'ai donné des chiffres et que le ministre, atteint certainement de mutisme
Monsieur le ministre, j'ai dit que je vous tenais par le mollet et que je ne vous lâcherai pas jusqu'à la fin de la discussion.
Non, mon cher collègue, rassurez-vous, je ne suis pas enragé, sauf vis-à-vis des privilèges que vous défendez, alors que nous, nous défendons les petites gens, que vous oubliez complètement pour beurrer la tartine des privilégiés. La question que pose Christian Eckert est tout à fait légitime. Nous devons savoir combien coûte la mesure proposé...
Merci pour votre mansuétude, monsieur le président. Au moins, M. Carré reconnaît que nos questions sont légitimes. Cela étant, je me mets à la place des personnes qui sont dans les tribunes et qui doivent se demander dans quelle langue nous parlons alors que nous évoquons le dispositif qui doit s'éteindre, le règlement de l'AMF, les OPCI, etc....
Je vous salue, monsieur le président, et je me permets de vous informer que le ministre n'a toujours pas répondu à mes questions sur l'impôt payé par mamie Liliane
Alors que l'objectif affiché par le Gouvernement à l'occasion de cette réforme est de simplifier l'ISF pour le rendre « plus juste et plus efficace », curieusement, à aucun moment il n'a été question de remettre en cause les avantages fiscaux tels que le dispositif dit ISF-PME, malgré quelques hésitations. Ce dispositif permet aux petites et m...
ou plutôt sur l'impôt qu'elle ne paiera plus, puisqu'il devrait passer de 40 à 10 millions, ce qui prouve que, quand on aime, on ne compte pas, et qu'on compte même de moins en moins, car la courbe est très descendante ! L'objet de cet amendement est de mettre en place un taux majoré de l'impôt sur les sociétés à 46 % « lorsque les dividendes...
Nous savons tous que, sous la pression des marchés, de plus en plus d'entreprises distribuent une part croissante de leurs bénéfices à leurs actionnaires plutôt que de les réinvestir dans l'activité productive ou de les distribuer à leurs salariés sous la forme d'une hausse des rémunérations. Ces pratiques sont à l'origine d'un affaissement de ...
Notre proposition a le mérite de la simplicité et de la clarté : quand l'entreprise redistribue beaucoup de bénéfices, il faut aussi qu'elle contribue. Cette façon de concevoir le partage des richesses pourrait devenir un levier du développement. Notre position est si claire et l'aveuglement idéologique du Gouvernement si évident que le minist...