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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

376 interventions trouvées.

Monsieur le président, je ne vous comparerai pas à Jeanne d'Arc ce serait désobligeant mais, tout à l'heure, je n'ai pas fait de rappel au règlement : j'ai demandé une suspension de séance. Mais, en l'espèce, les propos du rapporteur général, qui sont toujours très importants, ont une influence directe sur le déroulement de nos travaux. Qu...

ni notre différend, qui est abyssal. Monsieur le rapporteur général, on vous connaît depuis si longtemps que l'on vous sait sincère. Mais votre enthousiasme pour les familles, et M. Mariton pourrait en être d'accord,

Il vaut mieux en effet que vous attendiez de savoir ce que je vais dire. Votre enthousiasme pour les familles, disais-je, pourrait vous inciter à vous préoccuper davantage de celles qui sont de petites propriétaires et auxquelles vous ne vous intéressez pas d'habitude.

Attendez de savoir ce que je vais dire, monsieur Mariton. Dans l'assiette de l'impôt, la taxe foncière pèse lourdement.

Après tout, vous pourriez décider, et nous vous soutiendrions, de venir en aide aux familles qui sont frappées par la taxe foncière et qui ont des enfants, en leur accordant un avantage qu'elles n'ont pas pour l'instant.

Nous vous proposons d'aller plus loin, monsieur Mariton. Reconnaissez, monsieur le président, qu'il est difficile de s'exprimer dans cet hémicycle.

La politique du Gouvernement est lourde pour les gens les plus modestes, qui ont du mal à joindre les deux bouts, quand ils y parviennent. Or aux salaires écrasés s'ajoute la précarité du statut au travail. C'est pourquoi nous proposons de limiter le nombre d'emplois précaires dans les entreprises en faisant en sorte que plus une entreprise com...

Monsieur le ministre, je n'ai toujours pas de réponse à ma question. Votre silence est éloquent. Vous avez pourtant un véritable talent pour noyer le poisson. Nous connaissons la réponse, mais je souhaiterais l'entendre de votre bouche : est-il vrai que Mme Bettencourt, qui paie cette année 40 millions d'euros d'impôts, n'en paiera que 10 milli...

L'argumentation est un peu courte. J'avoue ne pas être convaincu par ce qui est devenu une interjection. Défavorable, mais pourquoi ? J'y vois une sorte d'obsession idéologique de toujours servir de béquille aux mêmes, contre les mêmes. (L'amendement n° 397 n'est pas adopté.)

Monsieur le président, je tiens à reprendre la parole après la réponse laconique du rapporteur général et le silence assourdissant du ministre. Je n'ai toujours pas de réponse à ma question concernant mamie Liliane, qui a des difficultés, même si elle a pu payer 10 millions d'honoraires pour débrouiller ses affaires avec sa fille.

Vous expédiez tout cela très vite, monsieur le président, monsieur le ministre, mais je n'ai toujours pas de réponse à ma question

Vous voyez, vous grimacez, monsieur le ministre ! D'ailleurs, quand je vous regarde, je me demande toujours si la ressemblance relève plutôt de Harry Potter ou de David Copperfield ! Cela dit, il manque les lunettes. Vous portez des lentilles ?

M. le rapporteur général vient de nous dire que les dons étaient faits sans contrepartie, mais cela n'est pas exact puisque vous proposez précisément que les gens qui donnent puissent payer moins d'ISF. Cela revient à faire des cadeaux avec l'argent du contribuable. Et vous sous-estimez vraiment les gens riches, car il y en a qui sont altruiste...

J'ai dit qu'il n'y en avait pas beaucoup, et vous les connaissez encore mieux que moi. Même pour donner des sous à l'UMP, ils deviennent pingres ces gens-là, bien que ces dons fassent l'objet de déductions fiscales ! Monsieur le rapporteur général, il n'y a pas de raison pour que nous subventionnions les dons des gens riches. Cette niche suppl...

Ces deux amendements sont très intéressants. Le Gouvernement propose 115 millions d'euros, autant dire rien. Nos collègues du Nouveau Centre proposent trois fois plus, c'est-à-dire trois fois rien. Certes, trois fois rien c'est mieux que rien, mais cela reste bien peu ! (Exclamations sur les bancs du groupe NC.) Nous devons toujours avoir en m...

Pour ma part, je voterai les amendements de nos collègues et, s'ils les retirent vraiment, je les reprendrai pour les placer devant leurs responsabilités. Nous pourrons alors tous constater jusqu'où peut aller leur faiblesse !

Monsieur le président, pour ceux de nos collègues qui voulaient faire la sieste, c'est mal parti, à cause du niveau sonore qui augmente. (Sourires.) La faute à qui, tout cela ? La faute au rapporteur général qui a pris des accents de tribun que nous ne lui connaissions pas. Je ne vois plus M. Geoffroy mais il a dit tout à l'heure quelque chose...

Comparez donc avec les Mittelstandsbetriebe d'Allemagne. Elles ne s'expatrient pas, elles, car il y a une grande différence entre elles et les nôtres : la fibre patriotique. Cela change pas mal de choses, il n'y a pas que des questions de fiscalité. Enfin, monsieur le président, avant que vous ne me rappeliez à l'ordre, qu'ai-je entendu ? Des ...

Monsieur le rapporteur général, vous allez tout de suite reconnaître le lieu : j'ai appris le partage à l'église de Nogent, où j'allais au cours de catéchisme.

Vous reniez même vos origines ! Vous vouez ainsi les meilleures idées de l'Église catholique aux gémonies.