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La constitution de ce groupe est-elle en cours ? Cela nous intéresse au plus haut point !
Le CEPRI a-t-il une compétence en matière de submersion marine ou seulement d'inondation fluviale ?
Vous avez travaillé trois ans pour établir un diagnostic et élaborer des propositions. Or, un plan « digues » devrait nous être soumis au mois de juillet, soit dans trois mois. Est-il raisonnable de penser l'établir dans un délai si court ?
Où sont ces spécialistes ?
Je suis très heureux que vous soyez entendus car nous n'avons pas l'impression de l'être, pour notre part, dans le cas de Xynthia. En matière de digues, notamment maritimes, n'avez-vous pas le sentiment qu'il y a eu ces dernières années une certaine dérive qui a fait qu'on a donné plus d'importance à la protection de l'environnement qu'à celle...
À croire que l'homme ne fait pas partie de la biodiversité !
Vos propos sont un peu contradictoires. Vous faites état d'améliorations dans vos relations avec les environnementalistes mais vous citez des blocages qui perdurent. Faut-il qu'un drame survienne pour que les choses évoluent ?
Je partage votre avis. Le seul argument à porter à la décharge des décideurs est qu'il fallait donner rapidement des réponses aux habitants afin notamment de ne pas les laisser un an dans l'expectative avant de les autoriser ou non à réparer. Depuis vingt ans, une incompatibilité ne s'est-elle pas développée entre la protection de l'environnem...
La France dispose-t-elle d'une doctrine technologique de construction de digues, avec une normalisation, à l'exemple des Pays-Bas ? Dans ce pays, chaque digue est répertoriée, classée dans l'une des quatre catégories définies par un organisme, et régulièrement contrôlée par un autre organisme. Les perrés des revers de digues sont souvent maçonn...
Je me permets de mettre en regard les 50 millions d'euros de ce programme et les 700 millions d'euros qui vont être dépensés pour racheter des maisons.
Le Scan Littoral est-il réalisé à une seule échelle ou à plusieurs échelles ?
Le programme Litto3D vous permettra-t-il de répondre à la directive ?
À un mètre près, on est noyé ou on ne l'est pas !
Ce matériel permet-il d'appréhender les effets des différents types de défense des côtes ?
Quel est l'élément qui empêche de couvrir l'ensemble du territoire en moins de quatre ou cinq ans ? Le financement ou les moyens humains et techniques ?
Si vous aviez les 50 millions d'euros, vous n'iriez pas plus vite ?
Le programme Litto3D est un élément important pour évaluer les risques et donc réaliser les plans de prévention du risque inondation (PPRI). Si Litto3D n'est pas prêt avant quatre ou cinq ans, cela signifie que l'on continuera à tâtonner en utilisant des données incomplètes pour réaliser des PPRI. Or l'État a décidé de doter, dans les trois ans...
Si vous disposiez de moyens un peu plus importants, de combien pourrait-on espérer réduire le délai ?
Ce n'est pas compris dans les 50 millions !
Le programme Litto3D une fois achevé vous paraît-il de nature à faire faire un véritable bond dans l'appréciation des risques et la réalisation des PPRI ?