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Bravo Sarkozy !
C'est de la truffe chinoise, à ce prix-là !
À propos de crise, on commence à comprendre une des raisons de la crise de confiance en France. Quand la majorité n'applique plus les principes que le Président de la République énonce dans de grandes conférences publiques, il y a un problème.
Ou alors, c'est qu'elle n'a pas compris ce qu'il a dit. Il y a quelques jours, un commissaire européen répondait à un député de la majorité, qui n'est pas présent ce soir, qu'il avait tort de se plaindre parce que ce qu'il était obligé d'appliquer, c'était le Président de la République française lui-même qui l'avait voté. « Certes, il a deux an...
Madame la présidente, je vais interrompre cette litanie pour vous permettre de reprendre votre souffle. (Sourires.) Les exploitants agricoles qui pratiquent la vente directe pour toute leur production doivent pouvoir choisir d'adhérer ou non à l'organisation interprofessionnelle de leur secteur. Il ne nous semble pas normal de les obliger à ad...
C'est de la contorsion, monsieur le ministre ! Vous obligez les exploitants à adhérer aux interprofessions et à payer leur cotisation, mais vous interdisez à certains de ceux qui seront obligés d'adhérer le droit de se faire représenter par qui bon leur semble. Monsieur le rapporteur, vous invoquez le fait qu'il s'agit d'organisations de droit...
Merci, monsieur le ministre, pour les éléments que vous venez de nous apporter. Tout cela n'est pas simple et il faut reconnaître que vous avez beaucoup travaillé sur tous ces sujets. Pour autant, nous avons encore des questions à poser car nous n'avons pas tout compris. Vous avez pris l'exemple du lait. Nous pouvons comprendre comment les ind...
Il pleut quand il faut ! (Sourires.)
Singulière façon de réécrire l'histoire
On ne vous a rien demandé, monsieur Cosyns !
Monsieur le président, apparemment, je suis le dernier orateur ; c'est une bonne nouvelle car nous pourrons ensuite aller dormir. Nous l'aurons bien mérité, tant M. le ministre que M. le rapporteur qui a beaucoup travaillé sur ce texte et qui va continuer dans les jours à venir. Monsieur le ministre, l'une des expressions que vous avez employé...
Ils comptent parfois sur notre naïveté et pensent que nous écouterons les sirènes de leurs idéaux et que nous nous retrouverons dans des situations tout à fait désagréables. Je n'évoquerai pas les moyens de financement de l'agriculture dont les Américains disposent, mais nous devons éviter toute naïveté. Le monde agricole est également dominé ...
Il est lié, ne l'oublions pas, à la main-d'oeuvre, sans doute mais un peu moins qu'on ne le dit. On a parlé d'une main-d'oeuvre à 6 ou à 12 euros de l'heure, mais cela ne concerne souvent que la main-d'oeuvre marginale, pour 30 ou 40 % maximum. C'est lourd mais il faut prendre garde à ne pas schématiser. N'oublions pas l'élément lié aux effets...
des Espagnols et puis des Brésiliens. La différence avec le Brésil, c'est que les responsables agricoles avaient l'occasion de faire un voyage lointain qu'ils pouvaient raconter à leur retour dans les assemblées de coopératives, ce qui n'était pas du plus bel effet pour ceux qui se demandaient comment trouver les quelques sous qui leur manquai...
Les écarts sont également dus aux erreurs d'investissement, il faut le dire. Dans beaucoup d'exploitations, les frais de mécanisation sont trop élevés et disproportionnés par rapport à la taille de l'exploitation. On a oublié l'agriculture en commun, les CUMA, les coopératives d'utilisation de matériel agricole. On a oublié que l'on pouvait aus...
Vous gagnez un ou deux points, mais les coûts de l'alimentation du bétail représentaient 45 %. Là, on peut gagner.
Or dans ce pays, on cible systématiquement sur la main d'oeuvre. En conclusion, je souhaite, monsieur le ministre, évoquer une piste qui n'a pas été explorée. Nous avons un système de déductions fiscales individuel. Je suis, pour ma part, favorable à la prise en compte des aléas économiques. Je ne pense pas que l'Union européenne puisse être ...
même si l'on peut malgré tout déceler un certain manque de volonté. La représentation syndicale ne vous coûtait pas très cher, monsieur le ministre. Il suffisait de reconnaître, puisqu'il y a plusieurs types d'agricultures et d'agriculteurs, qu'il était légitime d'avoir plusieurs représentants agricoles. J'ai fait valoir au président Jean-Mic...
Un dernier mot en réponse à l'intervention de mon collègue Daniel Fasquelle. S'agissant de la pêche, il y a certes eu le plan Mellick, mais il a été imposé par l'Union européenne et il y a eu, ensuite, d'autres plans. Inutile donc de se jeter ce genre de propos à la figure, qui ne règlent pas le problème. Restent les questions posées autour d...
Monsieur le secrétaire d'État, il me semble qu'il n'y a aucun risque qu'un budget soit adopté contre l'avis de la plus grosse chambre, composée de gros contributeurs. Toutefois, il me semble qu'il aurait été sage d'appliquer la règle des deux tiers dans une période transitoire afin de réduire les craintes qu'éprouvent certaines petites chambr...