1962 interventions trouvées.
Mais enfin !
Quelle comparaison scandaleuse !
Faux !
Monsieur le président, ma question s'adresse au ministre du travail et des relations sociales, M. Brice Hortefeux. Alors que le monde traverse une crise économique et sociale d'une ampleur inédite, le Président de la République réunira demain, à l'Élysée, l'ensemble des partenaires sociaux.
Cette rencontre sera essentielle pour la suite. Si elle est particulièrement importante, c'est d'abord parce que, au-delà de l'échange de mesures auquel il faut travailler, elle constitue sans doute l'occasion de poser les fondements d'un nouveau pacte social qui doit nous permettre de nous rassembler, dans un contexte aussi difficile que celui...
Là encore, nous entendons vous accompagner dans ce combat que nous voulons mener pour une France rassemblée avec un seul objectif : sortir de cette crise par le haut. Dans ce contexte, monsieur le ministre, pouvez-vous nous dire dans quel état d'esprit
le Président de la République et le Gouvernement abordent le sommet social qui aura lieu demain ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Oh !
Monsieur le Premier ministre, mes chers collègues, je voudrais exprimer à mon tour la solidarité de notre groupe à l'égard de nos compatriotes victimes de la terrible tempête du week-end dernier, en profitant de cette occasion pour rendre hommage à celles et ceux qui travaillent sans relâche pour les secourir. (Applaudissements sur les bancs de...
C'est la démonstration que l'État, lorsqu'il est mobilisé, peut réaliser au quotidien des petits miracles au service de ceux de nos concitoyens qui en ont besoin. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) En écoutant les uns et les autres depuis le début de cet après-midi, il m'a semblé que nous vivions un moment presque heureux....
Chers collègues, en découvrant la motion déposée par l'opposition, j'ai décidé de « positiver ». (« Ah ! » sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Certes, nous pourrions éluder une démarche visant principalement à régler les rapports de force internes au parti socialiste. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Nous pourrions esquiv...
Comme si prendre à parti la représentation nationale était pour elle le seul moyen d'envoyer un message à ses troupes !
J'ai décidé de positiver parce que cette motion de censure, ce contre-plan de relance du PS, c'est toujours mieux que le spectacle indigne de l'obstruction parlementaire. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Nous préférerons toujours débattre avec l'opposition des questions de fond que des marées d'amendements ineptes qu'elle...
Ces propositions, nous ne les approuverons certainement pas, mais elles valent toujours mieux que le flot de critiques stériles auquel nous avons droit de manière ininterrompue depuis dix-huit mois, sans que l'opposition ait jamais pris la peine de proposer une alternative crédible.
Du coup, dans la majorité, nous nous sommes presque pris à rêver. Nous nous sommes dit, chers collègues de l'opposition, que vous pourriez, finalement, accepter le rendez-vous de la responsabilité, que vous pourriez peut-être même, comme l'a très justement dit le Premier ministre, voter de temps en temps avec nous des mesures que vous pensez bo...
par exemple, le RSA. C'était une mesure qui figurait dans votre programme présidentiel, mais vous avez refusé de la voter parce que notre majorité la présentait. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC. Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Je vous le dis très simplement : notre vie politique souffre davantage des faiblesses de l'opposition que de ce paravent que vous avez inventé pour faire croire que nos libertés seraient menacées. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Personne n'est dupe. Depuis plusieurs semaines, vous avez décidé, faute de propositions, de pré...
Vous avez parlé des médias. Pourtant, il suffit de lire les journaux pour voir que les médias sont libres d'informer, de divertir, de soutenir, de critiquer, de caricaturer, de s'indigner, d'élever leurs lecteurs ou de les flatter. Partout, à la télévision ou à la radio, dans les médias publics ou privés, s'exprime la profusion des idées, et no...
Vous parlez d'une mise au pas de la justice. Il s'agit simplement de tirer les leçons des dysfonctionnements d'une institution qui, à certains moments, a déçu les attentes des Français. Cette institution, comme l'ensemble de notre pays, a besoin d'être modernisée. C'est notre responsabilité, et nous entendons l'assumer. Vous dénoncez également...
Je vous le dis : pas un Français n'y croit ! (« On verra jeudi ! » sur les bancs des groupes SRC et GDR.) En revanche, si cet appel aux libertés publiques, qui seraient menacées, est une stratégie, c'est celle de l'échec, parce qu'elle masque votre incapacité à proposer une alternance pour la France.