Découvrez vos députés de la 14ème législature !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia

Interventions de Jean-François CopéLes derniers commentaires sur Jean-François Copé en RSS


1962 interventions trouvées.

Si c'est une stratégie, elle est aussi coûteuse pour la France en termes de crédibilité : crier au loup quand il n'y a pas de loup, c'est insulter celles et ceux qui, dans d'autres pays du monde, se battent tous les jours pour leur vie et leurs libertés. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) C'est oublier que notre pays est sa...

J'en reviens donc à votre contre-plan de relance. Vous l'avez présenté quatre mois après la faillite de Lehmann Brothers, dans un contexte particulier pour l'histoire de votre famille politique. Mais, après tout, vous avez tout de même fait l'effort de formuler des propositions. Cela a pour nous un énorme avantage : permettre aux Français de c...

Peut-être pensent-ils que si on est positif pour son pays, on sert alors l'intérêt général, en oubliant parfois les étiquettes politiques parce que ce qui compte, c'est bien l'intérêt de notre pays et le service de nos convictions ? (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Pour ce qui est des intentions affichées dans le plan pr...

je constate que certaines ne sont pas très éloignées non seulement de ce que nous proposons, mais de ce que nous avons fait : qu'il s'agisse du plan que nous lançons pour garantir l'accessibilité des bâtiments publics, de la rénovation de 400 000 logements anciens par an une décision du Grenelle de l'environnement , de l'implication des col...

Que ce soient les Français ou les opinions publiques dans le monde entier, personne ne comprendrait que les affaires reprennent comme avant, que rien ne se passe. Monsieur Ayrault, en cette période de crise, au lieu de vous connecter à tous les démagogues de la terre, je regrette que vous n'ayez pas trouvé une minute pour en appeler, comme nou...

On ne peut pas être sans arrêt celui qui appelle à descendre dans la rue, celui qui en appelle à la division, alors même que nous sommes, les uns et les autres, pénétrés de l'idée simple que chaque proposition, d'où qu'elle vienne, devrait servir la France. De ce point de vue, il me faut vous dire le fond de ma pensée : votre plan de 50 millia...

Le fameux chèque de 500 euros pour chaque Français qui en a besoin, quelle belle idée ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Voilà qui n'engage pas à grand-chose quand on est dans l'opposition, et qui peut refuser une telle promesse électorale quand il est dans la difficulté ? Mais on sait très bien que ce type de mesures a des effets pe...

Vous savez très bien que 1981 reste un bien mauvais souvenir pour toutes celles et ceux qui ont la mémoire des comptes publics. Vous nous dites que d'autres pays misent sur la relance par la consommation. Sans doute, mais il faut mener jusqu'au bout les comparaisons internationales : le très haut niveau des transferts sociaux en France 30% d...

et qu'elles puissent se réorienter. Voilà notre combat ! La deuxième erreur de votre plan, c'est le retour à l'idéologie. Vous n'avez pas résisté à la tentation. Et là, vous payez une nouvelle fois un prix très élevé votre absence de courage politique.Depuis plus de dix ans, en effet, le parti socialiste a été incapable de produire une idée n...

La troisième erreur, c'est évidemment l'explosion de la dépense publique. J'entendais avec intérêt, il y a quelques semaines, l'exposé très savant de Didier Migaud, président socialiste, président d'opposition de la commission des finances. Il s'inquiétait de la dérive des dépenses publiques de notre gouvernement.

J'imagine sa tête lorsqu'il a découvert le plan de Martine Aubry, deux fois plus cher que le nôtre, et qu'on lui a dit : « Au fait, Didier, il faut que tu votes la motion de censure et que tu soutiennes le plan à 50 milliards ! ». Monsieur Ayrault, j'ai pris date :

plus jamais je ne laisserai M. Migaud terminer ses phrases lorsqu'il s'inquiétera de la dérive de nos déficits publics sauf si, tout à coup, pris d'une bonne idée, il a envie, lui aussi, de rejoindre notre majorité. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.) Il sera alors le bienvenu car son expérience et sa créativité sont précieuses dans un pay...

qui nous ont fait tant de mal. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Lorsque nous prenons des initiatives, nous ne sommes pas obsédés par la question : est-on libéral ou social, et qu'en aurait dit Karl Marx,

Adam Smith, Keynes ou Friedman ? Nous essayons d'avancer avec une philosophie politique adaptée à notre temps. Nous nous efforçons d'adopter ce que nous appelons le pragmatisme.

Il s'agit d'être juste, attentif aux autres et, chaque fois, de trouver la meilleure formule pour chaque Française et pour chaque Français qui veut renouer avec l'espérance. Voilà ce à quoi nous travaillons. Il s'agit de réinventer l'action publique pour recoller l'économie financière à l'économie réelle, pour valoriser le travail et pour que c...

Non, monsieur Brard. Vous voyez, là encore, vous retombez dans ces a priori idéologiques qui vous font tant de mal.

À force de fustiger les autres, vous ne cherchez même plus à respecter les pays qu'ils dirigent, vous en êtes même à oublier que dans tous ces pays, il y a des idées, de la création, de l'écoute et du respect.

Mes chers collègues, nous rejetons la motion de censure de l'opposition. Plus que jamais, nous réaffirmons notre détermination à transformer le travail parlementaire pour faire renaître le Parlement, et ce au service des Français. Plus que jamais, nous confirmons notre engagement aux côtés du Président de la République et du Premier ministre, a...

Monsieur le Premier ministre, nous vous avons écouté avec d'autant plus d'attention que vous avez exprimé la voix de la sagesse. Ce que nous avons vécu hier soir m'inspire bien sûr une grande tristesse, comme à l'ensemble de mes collègues : le spectacle donné par l'opposition, aussi bien sur la forme que sur le fond, nous a profondément choqué...