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Les amendements de Jean-François Copé pour ce dossier

117 interventions trouvées.

Vous avez passé l'essentiel de votre temps en invectives, en caricatures, en dévoiements d'un débat qui désormais n'a plus aucun intérêt. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Vous vous inquiétez de l'absence de prise de parole de la majorité.

Je vous rappelle qu'elle est intervenue dans la discussion générale, que nous avons exprimé, les uns et les autres, nos convictions sur le sujet, et que nous assumons les différences qu'il peut y avoir entre nous. Arrêtons ce jeu de rôles ! Nous avons tous lu l'excellente interview que Patrick Bloche a donnée au magazine Le Point, et au cours ...

Il s'est même demandé si j'en riais. Je lui confirme que personne à droite n'en rit, car l'enjeu, tant culturel qu'économique, est de taille pour notre télévision publique. Vous faites tout pour empêcher que ce texte soit adopté dans les temps. Alors que France Télévisions est en train de préparer sa modernisation et son organisation, vous emp...

La demande de vérification du quorum fait, à mon sens, partie des éléments de procédure parfaitement absurdes que recèle notre règlement. Il ne s'agit en fait que de troubler les débats au prétexte de vérifier s'il y a suffisamment de députés présents dans l'hémicycle. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

En réalité, chacun sait qu'il n'y a jamais assez de députés présents, surtout de l'opposition j'en veux pour preuve le numéro auxquels se sont livrés nos collègues tout à l'heure, qui nous a fait sourire. Cette procédure a surtout l'avantage, pour ceux qui veulent retarder les débats, de permettre de bloquer les séances de nuit. Compte tenu ...

, président de la commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi organique relatif à la nomination des présidents des sociétés de l'audiovisuel public et le projet de loi relatif à la communication audiovisuelle et au nouveau service public de la télévision. Il n'est pas inscrit, il insulte notre collègue et personne ne dit rien !

Madame la présidente, mes chers collègues, je veux seulement mettre en perspective la méthode de travail qui est la nôtre depuis l'ouverture de nos débats. Nous avons déjà débattu une trentaine d'heures.

Le président de la commission peut intervenir quand il le souhaite peut-être le serez-vous un jour, mon cher Christian Paul. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

Compte tenu du temps que vous passez au micro, souffrez que je vous accorde, ou plutôt que je vous consacre un tout petit peu du mien, mes chers collègues de l'opposition.

Heureusement, monsieur Mamère, que je suis plus indulgent avec vos propos que vous ne l'êtes avec les nôtres ! Nous avons débattu, disais-je, une trentaine d'heures, et nous avons encore 727 amendements à examiner, ce qui fait beaucoup. Je me permets d'apporter ces précisions aussi bien à nos collègues de l'opposition qu'à ceux de la majorité....

Oui, mais maintenant cela nous gêne. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR. Rires sur les bancs du groupe UMP.) Même vous, chers collègues de l'opposition, lorsque vous aurez plus d'expérience et que vous aurez vécu notre situation, vous vous direz que nous avons bien fait de changer le règlement. (Exclamations sur les bancs des ...

Et puisque Noël Mamère s'est mis à citer les grands auteurs, je l'invite à méditer cette formule d'Aldous Huxley : « Le secret du bonheur et de la vertu, c'est d'aimer ce qu'on est obligé de faire ». Nous allons donc être malheureusement obligés de vous écouter encore un certain temps dire des choses qui n'ont plus rien à voir avec le sujet. Ma...

Pour tout vous dire, monsieur Mamère, si je n'ai pas répondu jusqu'à présent, c'est parce que je pensais que ces interpellations relevaient de la technique de l'obstruction. J'attendais que cela passe

Laissez-moi répondre, monsieur Paul. Vous défendez avec beaucoup de promptitude la liberté de l'opposition, mais je vous trouve moins empressé envers celle de la majorité. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Je n'ai pas répondu car je l'ai déjà fait deux fois : hier après midi et cet après midi encore.

Je pensais vraiment que votre ton comminatoire, qui contraste avec votre attitude bien plus accommodante en privé, était un simple « truc » pour faire de l'obstruction, que vous vous étiez donné le mot. J'ai d'ailleurs invité mes amis à faire preuve de patience, puisqu'il est écrit que, pour examiner ce texte, on doit se taper des heures de log...

Comme vous êtes toujours très prompt à défendre la liberté de la presse, je dirai à vos ex-confrères de France-Inter, d'i-Télé, de RTL et du Monde, auxquels je m'adressais, que ce sont de simples voisins. Cela leur fera sûrement plaisir

Vos amis sont épatants, madame la présidente. Cet après midi, ils ne sont vraiment pas décevants !

Je vais donc répéter ici ce que j'ai déjà dit à plusieurs reprises depuis hier après midi. Tout d'abord, j'ai été, comme tout le monde, surpris pour ne pas dire frappé

Dites-moi plutôt ce que j'ai à dire, ce sera plus simple ! Cette question mérite mieux que de l'ironie de votre part, monsieur Paul.

Parfaitement, et cela en dit long. J'ai exprimé mon émotion et mon étonnement quant à la brutalité de cette interpellation. Pour le reste, j'ai dit que, sur le fond de l'affaire, je ne savais rien d'autre que ce que j'en avais lu dans la presse. En tant que responsable politique mais également comme juriste, cher confrère (Exclamations sur les ...