Interventions de Jean-Christophe Lagarde
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Merci, monsieur Sandrier.
Votre intervention aura seulement dépassé de cinquante secondes le temps qui vous était imparti. J'ai été largement tolérant. (Vives exclamations sur les bancs des groupes GDR et SRC.)
Chers collègues, vous aurez tout loisir de proposer une réforme du règlement si vous estimez qu'il doit être remanié. La parole est à M. Jérôme Chartier, pour le groupe UMP.
La parole est à M. Dominique Baert, pour le groupe SRC.
La parole est à M. Charles de Courson, pour le groupe Nouveau Centre.
Dans la discussion générale, la parole est à M. Jean-Claude Sandrier, premier orateur inscrit.
La parole est à M. Jérôme Chartier.
Monsieur Emmanuelli, vous aurez la parole dans un instant.
La parole est à M. Henri Emmanuelli.
Mes chers collègues, n'interrompez pas M. Emmanuelli !
Je disais cela pour le bon ordre règne ici, et pour le compte rendu de la séance !
Je vous protège contre vos propres amis !
Madame la ministre, monsieur Chartier, laissez M. Emmanuelli poursuivre son intervention.
C'est vous-même, monsieur Emmanuelli, qui m'avez dit tout à l'heure que cela ne vous dérangeait pas ! Monsieur Chartier, vous avez eu l'occasion de vous exprimer.
Je vous remercie, monsieur Emmanuelli !
Ne relancez pas M. Emmanuelli car il a épuisé son temps de parole. Veuillez conclure, mon cher collègue.
La parole est à M. Charles de Courson.
Puisque vous voulez décompter le temps, monsieur Eckert, et en priant M. de Courson de m'excuser de l'interrompre, je vous indique que M. Emmanuelli s'est exprimé pendant treize minutes cinquante. Je laisse donc la même latitude, c'est-à-dire une minute quarante, à M. de Courson pour terminer.
Je l'ai rappelé à l'ordre au bout d'exactement dix minutes. Du reste, vous qui êtes un ancien président de l'Assemblée nationale, vous savez qu'on ne casse pas les pieds des orateurs mais qu'on essaie de leur faire respecter leur temps de parole.
Je ne cherche qu'à vous faire entendre raison. Poursuivez, monsieur de Courson.
