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Mais le groupe de travail l'est !
Ce sont les mêmes !
M. Brard a cherché à distraire l'Assemblée de l'objet réel de mon amendement.
Je ne doute pas de l'efficacité des GIR en termes de grande criminalité. Les élus locaux, la population, les parlementaires voient moins leur action sur le terrain. Vous avez raison, monsieur le rapporteur, il ne s'agit pas de demander un rapport pour avoir un rapport. Si M. le ministre nous indiquait que les lois de finances peuvent être l'occ...
J'ai déjà évoqué ce sujet hier lors de la discussion générale. Depuis 2002, le groupe Nouveau Centre, qui intervient régulièrement sur ces sujets, demande que soient décloisonnées au maximum les services de l'État qui luttent contre la criminalité : gendarmerie ou police nationale, afin de faciliter les rapprochements et d'encourager la mutual...
Cela fait huit ans que je le dis !
Dommage !
Je ne souhaite pas répondre aux sous-entendus de M. Brard, que je comprends assez peu. Mais ce n'est pas nouveau
Nonobstant la conviction de M. Brard, qui, sur le fond, n'emportera pas la mienne, je persiste à croire que cette réflexion est nécessaire et utile. Du reste, nos débats parlementaires ont prouvé leur utilité dans la mesure où, au sein même des institutions de l'État, des évolutions ont pu être constatées entre la LOPSI 1 et la LOPPSI 2 : ce qu...
Cet amendement, je vous l'indique, ne sera pas retiré. Il est tiré d'une expérience de terrain, que j'essaie de faire remonter. Elle nous ramène aux émeutes que nous avons connues en 2005. Aujourd'hui, lorsque des compagnies républicaines de sécurité, éventuellement de gendarmerie mobile en réalité, elles n'ont pas la même culture d'interven...
Non, mais c'est du domaine des orientations, donc des objectifs. qui voit une force de police intervenir dans une commune dont il connaît tous les tenants et les aboutissants, le niveau de tension, se retrouve totalement dénué de capacités d'action. J'ai vécu cette situation et mon amendement vise à appeler votre attention sur ce point. Lorsq...
Martine l'a mis au piquet !
Certains de nos concitoyens, certains élus ici même ont tendance à penser, dès que l'on évoque Internet, qu'une partie de la société voudrait remettre en question cette liberté nouvelle de communiquer, d'échanger à travers ce moyen de communication qui permet de démultiplier nos facultés à échanger entre nous. De plus en plus se développe, dan...
le vôtre notamment, selon lequel, dès que l'on chercherait à réglementer quelque chose sur Internet, ce serait pour restreindre les libertés, il y a une autre forme de totalitarisme. De mon point de vue, lorsqu'une liberté nouvelle se crée, elle s'accompagne de formidables et nombreuses possibilités, plus nombreuses que les inconvénients, je t...
Non !
Ce n'est pas une raison pour en abuser !
Cette précision n'était pas nécessaire, madame la présidente, car on peut considérer que je fais un rappel au règlement, sur le fondement de l'article 51. (Sourires.) Je remercie sincèrement le président de la commission des finances d'avoir pris la peine de venir exposer dans l'hémicycle son interprétation de l'article 40. Je ne la partage pa...
Monsieur le président, monsieur le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, mes chers collègues, assurer la sécurité de nos concitoyens, et ce de manière continue sur l'ensemble du territoire, constitue pour l'État l'une des prérogatives les plus fondamentales. C'est donc avec la conscience d'aborder un élémen...
Quant à la zone de rétention de Roissy sur laquelle j'ai presque honte de revenir tant elle a fait l'objet de débats au sein de notre assemblée , les salles d'audience dont elle est pourvue devraient normalement permettre d'éviter aux centaines de personnes qui y sont retenues de se déplacer, mais les juges refusent eux-mêmes de s'y rendre. ...
Pourquoi ne peut-on obtenir de ces fonctionnaires, fussent-ils magistrats, qu'ils se déplacent sur les lieux ? Faute de pouvoir le faire, on est obligé d'assurer des navettes incessantes entre l'aéroport de Roissy et le palais de justice de Bobigny. Face à une situation aussi absurde, la visioconférence, monsieur le rapporteur, est plus qu'util...