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Très bien !
En lisant le tableau joint à l'amendement, je constate que le nombre de conseillers territoriaux prévu pour la région Midi-Pyrénées est fixé à 255, ce qui en fera la troisième région française en ce qui concerne le nombre d'élus. Je me réjouis de cette position, mais je m'interroge tout de même sur la cohérence de chiffres qui paraissent jetés ...
Ma question s'adresse à M. le ministre du budget, que je veux informer des dernières parutions sur Google. En y cherchant le mot « rigueur », on peut lire : « Fillon fait la leçon aux députés UMP.» (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Votre gouvernement souhaite engager une réforme des col...
Je suis plutôt d'accord avec le diagnostic établi par le ministre de l'intérieur : nous souffrons d'une fragmentation des structures territoriales, d'une obsolescence de la fiscalité locale et d'une complexité trop grande des compétences croisées. Je suis, en revanche, très déçu par les remèdes proposés : ils ne sont pas du tout à la mesure du ...
Ma question porte sur la mise rapide à deux fois deux voies de la RN 88 entre Albi et Lyon. Comme vous le savez, le sud du Massif central dispose d'atouts réels, tels que la présence d'agglomérations jouant un rôle de métropoles d'équilibre au niveau régional, la présence de filières économiques à forte valeur ajoutée et d'équipements de forma...
Pas de compromission ! (L'amendement n° 5311 n'est pas adopté.) (L'article 14, amendé, est adopté.)
Beaucoup de choses ont été dites. On m'a reproché hier d'être quelque peu excessif dans mes propos. Je ferai donc preuve aujourd'hui de modestie et presque de résignation mais, si je suis résigné, c'est que je suis triste et, si je suis triste, c'est que les problèmes auxquels je suis confronté me paraissent énormes : je souhaiterais que votre ...
Tous ! Lisez-les avec attention. Je peux vous citer mes sources.
Le Figaro, je n'ai pas pour habitude de le lire, mais il dit tout compte fait la même chose. Il y a incontestablement une ambiance que vous semblez ne pas vouloir appréhender, et je le regrette profondément. Je vais maintenant me permettre de poser une dernière fois quelques questions à votre gouvernement pour que vous essayiez peut-être d'app...
Le dialogue social, c'est la discussion, c'est-à-dire l'écoute, l'échange. Les uns avancent une proposition, les autres la comprennent et renoncent à tel ou tel point qu'ils croyaient incontournable. C'est, au fond, la rencontre de deux subjectivités, d'où naît une réalité objective. Mais, en l'occurrence, il n'y a pas eu le moindre échange. V...
elles seront amenées à choisir un peu de revenu supplémentaire, comme vous les invitez à le faire. C'est un marché de dupes. Nous n'en serons pas complices. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Lumineux !
C'est intéressant et instructif !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je vais commencer par citer une phrase dont je pourrais assumer le contenu, au mot près : « Notre fonction publique est l'une des plus remarquables du monde par la qualité de ceux qui s'y engagent,
« par leur haut niveau de qualification, par leur moralité et par leur professionnalisme. En France, le service public, ce n'est pas seulement une profession, ce n'est pas seulement un métier, c'est une vocation. »
De qui sont ces mots ? Les reconnaissez-vous, madame la ministre ? Ce sont ceux du président Sarkozy qui, lors d'une allocution en septembre 2007 peut-être même a-t-il récidivé en septembre 2009 devant des fonctionnaires, car il avait choisi son public, définissait les nouvelles pistes de sa politique concernant la fonction publique. Ce dis...
Voilà le but qui est le vôtre ! Cette obsession transpire de tous les textes que vous prônez.
En tout cas ce que je dis provoque quelques remous. Quant à votre rupture par rapport à la droite ancienne, selon le discours du Président de la République, elle n'est qu'un leurre, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, mesdames, messieurs les députés de la majorité. Vous êtes et vous resterez les pourfendeurs du service public.
Eh si ! Vous demeurerez les protecteurs des intérêts privés de quelques-uns.