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Je ne donne pas de leçons ; je constate et note que personne, dans la majorité, ne propose de modifier cette situation. Force est de constater aussi que le mouvement que je viens d'évoquer a été accentué ces dix dernières années et qu'il n'a nullement été entravé par la crise. Ainsi le journal bien peu révolutionnaire L'Expansion a calculé qu...
Toutes ces gesticulations ne masqueront pas l'urgente nécessité d'augmenter les salaires dans ce pays
afin de permettre à la fois de revaloriser le travail, de relancer le pouvoir d'achat et de financer la sécurité sociale, mais également de rééquilibrer durablement un partage plus équitable de la valeur ajoutée en augmentant la part des salariés. Il ne faudrait pas oublier que les acteurs de la production de valeur ajoutée, donc de richesses,...
Si vous souhaitez réellement agir pour défendre le pouvoir d'achat des salariés face aux spéculateurs, il vous appartient de soutenir ces amendements, de les faire adopter par votre majorité car, en l'état actuel, nous ne voterons pas ce texte.
Finalement, la justice sociale ne les intéresse pas !
C'est vous qui faites ça !
Il faut augmenter les salaires !
Ce texte apporte la pire réponse à un vrai problème, celui de la stagnation des salaires et de la baisse du pouvoir d'achat des ménages. Faute de vous attaquer à la question des salaires, vous vous drapez d'un manteau de justice en proposant fallacieusement d'améliorer le partage de la valeur ajoutée. En réalité, ce dispositif très aléatoire co...
Par prudence, a-t-il dit.
Monsieur le président, madame la secrétaire d'État chargée de la santé, mes chers collègues, nous voici parvenus au terme de l'examen de ce projet de loi qui fait la quasi-unanimité contre lui, tant parmi les psychiatres et l'ensemble des professionnels concernés que parmi les patients et leurs associations. Un texte sécuritaire et réducteur qu...
comme si cette situation particulière pouvait être abordée efficacement sans revoir l'ensemble de l'organisation des soins en psychiatrie. Avec ce texte, votre objectif est de faire croire à nos concitoyens qu'ils seront mieux protégés face aux actes potentiellement dangereux de certains malades mentaux, ce qui n'est pas la réalité. En fait,...
Quelques autres avancées ont été introduites par voie d'amendement au Sénat ou à l'Assemblée nationale. Il s'agit de la création d'un droit à l'oubli fixé à dix ans, de l'organisation par les agences régionales de santé d'un dispositif de réponse aux urgences psychiatriques ou encore de l'unification du contentieux de l'hospitalisation sous con...
Tout à fait ! C'est vraiment une question de cohérence.
C'est un peu macho comme raisonnement !
Nous parvenons au point cardinal de ce processus de révision de la loi de bioéthique : le statut de la recherche sur les embryons et les cellules souches embryonnaires. Nous avons été un certain nombre, à la suite des chercheurs concernés, à nous réjouir de la rédaction retenue par le Sénat, qui modifie le statut de la recherche sur les embryon...
Vous n'avez cependant pas précisé peut-être était-ce un oubli que, s'ils n'ont pas été gênés, du moins jusqu'à présent, dans leurs travaux, c'est dans la mesure où les programmes de recherche en étaient au stade de la recherche fondamentale. Cependant, nous en sommes aujourd'hui à un stade ultérieur, celui de l'application éventuelle. Est d...
Considérant qu'un délai d'une semaine est largement suffisant, nous proposions, dans l'amendement n° 81, de retirer les mots « au moins » dans la formulation « au moins une semaine ». L'amendement n° 82 rectifié apporte un complément en offrant la possibilité aux femmes qui le souhaitent de renoncer au délai d'une semaine. Pourquoi infliger obl...
Je le retire. (L'amendement n° 82 rectifié est retiré.) (L'article 13 bis est adopté.)