Il est vrai que nous divergeons sur leurs modalités pratiques : nous sommes, pour notre part, favorables aux recherches en milieu confiné, mais aussi, dans un certain nombre de cas déterminés par le Haut conseil des biotechnologies, et avec un maximum de précautions, à celles effectuées en plein champ. Et nous assumons pleinement cette orientation. Dès lors, il nous a semblé qu'il fallait donner un signal en faveur des instituts de recherche qui travaillent sur les OGM, et qui sont de moins en moins nombreux : de 128, on est passé à 12 il y a deux ans et à seulement 2 cette année.