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Les amendements de Gaëtan Gorce pour ce dossier

203 interventions trouvées.

Je souhaitais répondre au Gouvernement, dont le silence éloquent appelait au moins un commentaire, pour éviter qu'il ne devienne ambigu

et pour m'assurer qu'il valait bien désapprobation de la disposition que nous avons présentée. Si vous ne voulez pas nous laisser défendre nos arguments et, conformément au règlement, nous permettre de répondre à la commission et au Gouvernement, nous serons forcés de demander une suspension de séance pour en discuter avec vous, monsieur le pr...

Les arguments développés par Valérie Fourneyron et Aurélie Filippetti me paraissent très forts dans la mesure où les risques sont considérables.

Sans compter que le terme « Facebook » pourrait être interprété comme « érotiquement obscur », pour reprendre l'observation de M. Brard. Nous en sommes à un stade très important de la discussion. Au cas où vous vous étonneriez que nous insistions sur cet aspect de la question, rappelez-vous les événements d'hier après-midi et vous comprendrez ...

En l'occurrence, étant donné les risques que représente la publicité sur l'ensemble des réseaux sociaux, nous insistons pour que vous votiez cet amendement. (L'amendement n° 199 n'est pas adopté.)

Les propos de M. Myard sont rares mais, en l'occurrence, inacceptables. On aurait pu les apprécier dans la mesure où ils rompaient avec le silence assourdissant de la majorité, mais si c'est pour qualifier l'opposition de communiste à la chinoise, l'observation va un peu loin.

Elle me paraît surtout, mon cher collègue, partir d'une observation assez inexacte de ce que nous sommes et du contenu de l'amendement.

Nos amendements poursuivent un seul but : interdire sans doute, mais interdire pour protéger. Vous voulez, vous, ouvrir la publicité, la communication publicitaire et commerciale à l'ensemble des réseaux sans considération des risques que cela peut représenter pour notre jeunesse. Je vous ai connus, à d'autres époques, plus attentifs à l'aveni...

Nous tâchons donc de réparer une injustice : celle du rejet, hier, de la motion de renvoi en commission dans des conditions pour le moins contestables et sur lesquelles je n'insisterai pas mais qui nous ont laissé un triste souvenir.

Nous entendons également rappeler qu'au coeur de nos propositions se trouve le refus d'adhérer à une logique essentiellement commerciale. Vous avez prononcé des paroles d'apaisement, monsieur le ministre, auxquelles je souscris entièrement. Vous avez souhaité que la qualité du débat soit la meilleure possible. Vous pouvez compter sur notre con...

Je comprends qu'il ait envie de participer à la course à la caricature, qu'il soit d'ailleurs doté de quelque talent en la matière, mais nous ne le suivrons pas sur ce terrain et continuerons de privilégier le fond du débat, quitte à le prolonger, tant il importe que toute la lumière soit faite sur les menaces que recèle ce texte.

Vous avez annoncé le scrutin il y a moins de cinq minutes : nous sommes certes passés à l'heure d'été mais tout de même !

Manifestement, monsieur le président, bien que l'heure ait changé dans la nuit de samedi, vous n'avez pas eu l'occasion d'adapter votre chronomètre et vous avez compté cinq minutes pour deux minutes effectives. Dans ces conditions, pour vous permettre de procéder au réglage indispensable des appareils grâce auxquels vous pouvez mesurer le temps...

Le président Ayrault est intervenu tout à l'heure pour rappeler les règles qui président à nos discussions. Les remarques que le rapporteur a cru devoir faire sur le sujet ne paraissent pas appropriées : il est bien du devoir d'un président de groupe de rappeler les droits de l'opposition, notamment lorsque le droit à s'exprimer et le droit à v...

Se respecter, cela veut dire ne pas réagir comme viennent de le faire mes collègues de l'UMP. Cela signifie aussi que lorsqu'on a des intérêts propres à défendre, il faut éviter de les mettre en avant dès lors que l'on est dans cet hémicycle.

Enfin, se respecter, cela veut dire accepter le débat, y compris lorsque sont citées des situations politiques, économiques ou financières. Lorsque nous disons, par exemple, que le texte dont nous débattons va profiter à un certain nombre de personnalités, je ne vous apprends rien : l'argent va à l'argent ! Et l'argent, on va le chercher là où...

Ce qui nous émeut, c'est que nous allons voter une loi qui va leur permettre de renforcer leur emprise sur un marché où ils se sont installés au moment où ces pratiques étaient illégales. Nous avons donc parfaitement le droit de le dire. Nous ne sommes en aucun cas en train d'accuser qui que ce soit de complicité ou de je ne sais quelle suspici...

Regardez les listes, vous les connaissez. C'est un problème pour la République de légiférer dans ces conditions. Lorsque l'on dit les choses de cette manière, il est possible de s'entendre, mais je comprends qu'en entendant cela, vous soyez un peu embarrassés et que vous préfériez, en dépit des rapports que vous entretenez avec lui aujourd'hui...

Cet amendement tend à limiter l'impact négatif que la loi dont nous débattons peut avoir sur le comportement des mineurs, et notamment sur les risques d'addiction qui sont reconnus par tous. Chacun sait que le développement de la publicité, s'agissant des jeux en ligne, est de nature à développer les addictions. Notre principale préoccupation d...

Nous avions anticipé la réponse du rapporteur et du ministre. Comme nous ne voulions pas les contrarier et, au contraire, aller dans le sens de leurs préoccupations, nous avons rédigé un deuxième amendement qui consiste à maintenir la rédaction à laquelle M. Lamour est attaché à savoir la référence aux jeux pathologiques et excessifs en ind...