584 interventions trouvées.
J'ai tout d'abord une demande à formuler. A la suite de la réforme constitutionnelle, nous allons délibérer mercredi prochain en séance publique des opérations extérieures de la France, qui donneront lieu à cinq votes un par opération concernée. Mais un tel débat n'est précédé d'aucun rapport parlementaire, puisqu'il ne s'agit pas de la discu...
Donc, vous suivez les recommandations de M. Bourgi ?
J'apprécie votre connaissance de l'Allemagne contemporaine, monsieur le secrétaire d'État, mais certains de vos propos m'ont surpris. Vous avez notamment prétendu que la relation franco-allemande ne pâtissait pas de problèmes personnels. Puisque vous vous faites fort de renoncer à la langue de bois, reconnaissez plutôt qu'il y a eu des tensions...
Ce n'est pas tout à fait la même chose !
Pas par vous !
Quelle honte !
C'est minable !
C'est honteux !
Godillots !
Je veux féliciter le Président et le Rapporteur de la mission pour leur travail considérable et leur rapport de qualité. J'observe, malicieusement, que, lorsque la commission des affaires étrangères confie les fonctions de président et de rapporteur d'une mission d'information respectivement à un membre du groupe SRC et à un membre du groupe UM...
Vous avez raison.
Respectez le Parlement !
C'est une question importante !
Mais c'est un point essentiel !
Ce n'est pas de l'obstruction, ce sont de vraies questions !
Belle conception de la démocratie !
C'est une parodie !
Très bien !
Tout à l'heure, Didier Mathus évoquait le bond en arrière incroyable que représentent les dispositions de l'article 8 relatives à la nomination du président de France Télévisions par le Président de la République. Plutôt qu'un bond de vingt-cinq ans, je considère plus exact de dire qu'il s'agit d'un bond de quarante ans.
C'était l'époque de M. Peyrefitte. La télévision avait alors un service de liaison interministérielle de l'information qui donnait au Gouvernement un droit de regard sur le conducteur du journal télévisé du soir. C'est à peu près ce qui nous attend avec la volonté de contrôle absolu du Président de la République sur les médias. Patrick Bloche ...