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- Mais le produit est connu depuis près de 4.000 ans !
- Je n'étais pas en contradiction avec votre propos : je m'interrogeais seulement. Lorsque des sportifs veulent se doper, ils recherchent avant tout la performance mais développent un phénomène d'addiction. Car les drogues sont aussi une manière d'exploiter les gens. Pendant la guerre de 1914, on donnait des gourdes de gnôle aux Poilus pour af...
- Quelle est la part d'influence et de dédiabolisation des produits que peuvent avoir de grands artistes comme Gainsbourg et d'autres chanteurs ou Verlaine, dont on dit qu'il a abusé d'un certain nombre de produits ? Il y a un paradoxe dans notre société, beaucoup de prohibitionnistes étant remplis d'admiration pour ces exemples -qui n'en sont ...
- Existe-t-il en Suède un service civique ou militaire, au moment de l'adolescence et du passage à l'acte ? Comment appréhendez-vous la question du risque sanitaire et de la transmission de maladies comme le VIH -même si vous y êtes moins confrontés que la France, du fait de son mélange de populations ? Enfin, quelle réponse apportez-vous aux...
Nous pouvons peut-être dire qu'un débat est né en France autour des salles de consommation à moindres risques. La ministre de la santé avait considéré que ce débat pouvait être intéressant. Le Premier ministre ne l'avait pas suivi. Quelques élus sont allés à l'étranger visiter ces types de structures et le Sénat et l'Assemblée nationale ont v...
Ce n'est pas la même chose !
Tout cela, c'est réglé !
Mais on le fait !
Rendez-vous en 2012 !
C'est votre faute !
Monsieur le coprésident François Pillet, les mots ont un sens. Parler de « salles de shoot » exprime déjà bien des choses ; mieux vaudrait employer l'expression de « salles de consommation à moindres risques ».
C'est vous qui êtes nul !
Le Gouvernement aussi !
- J'aurais une approche moins technique que ma collègue. Je crois qu'il faut que l'on s'entende bien au cours des auditions que l'on va avoir : la lutte contre toutes les formes de toxicomanie nous rassemble tous, qu'il s'agisse de drogues licites ou non. Les moyens, la prévention, l'information, l'éducation, la répression, la prohibition const...
- Il s'agit d'une vraie différence, avec une prescription médicale et un achat en pharmacie.
Quel aveu d'échec !
C'est à nous !
De deux choses l'une : soit nous estimons tous qu'il faut trouver les moyens de mieux lutter contre la nocivité des stupéfiants, car les dégâts causés à la société en matière de santé publique, par la création d'une économie parallèle, sont trop graves ; soit nous recréons un débat politique avec une opposition traditionnelle entre gauche et dr...
L'échange de seringues également, alors !
La transmission du VIH et de l'hépatite C s'est moins développée avec le système de l'échange de seringues. On a sauvé des vies et l'on peut faire encore mieux. La loi de 1970 n'est pas appliquée en France : elle est désormais trop ancienne et a des effets pervers. Cela affaiblit la démarche de la puissance publique. La MILDT devrait se poser...