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Je vous remercie, madame la présidente, de m'avoir donné la parole pour un rappel au règlement, au titre de l'article 58, alinéa 1. J'observe le comportement d'un certain nombre de collègues dans cet hémicycle, notamment du président Copé (Murmures sur les bancs du groupe UMP), qui, à l'évidence, a besoin de se déplacer constamment et de se c...
Monsieur le président, je demande la parole pour un rappel au règlement. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
J'ai assisté, avec mon collègue Alain Vidalies, à la scène. J'ai vu ce que j'ai vu et j'ai entendu ce que j'ai entendu.
M. le ministre rapportait des propos tenus par le groupe socialiste. Je lui rappelle, il était présent, que M. Lefebvre nous a traités avant-hier soir d'« antirépublicains ».
C'était pour le moins discourtois. J'ai également entendu à plusieurs reprises un certain nombre de collègues nous traiter de « guignols ». Je pense qu'il faut arrêter là l'escalade et, pour calmer les esprits, je vous demande, monsieur le président, au nom de mon groupe, une suspension de séance de dix minutes.
C'est notre première demande de suspension !
Je voudrais, par un rappel au règlement fondé sur l'article 58-1, répondre à l'interpellation du président Copé. Tout d'abord, monsieur Copé, le président Ayrault a été présent à cinq reprises dans ce débat (Exclamations sur les bancs du groupe UMP)
et vous feriez peut-être bien d'en faire autant !
Hier, en effet, en fin de matinée, c'est votre groupe qui, par la voix de M. Cornut-Gentille, a demandé une suspension de séance parce qu'il y avait plus de députés socialistes présents dans l'hémicycle que de députés de droite.
Ces amendements s'inscrivent une fois encore dans la droite ligne de nos propositions pour améliorer le pouvoir d'achat de nos concitoyens. Alors même que beaucoup s'interrogent sur les niches fiscales, voilà un amendement qui devrait faire l'unanimité. Nous vous proposons de plafonner globalement les réductions d'impôt résultant de l'ensemble...
Nous sommes en session extraordinaire et, cette semaine, nous travaillons tous les jours, tous les après-midi, toutes les nuits.
Le Gouvernement restant sourd à toutes nos propositions, nous n'insistons pas et nous retirons cette série d'amendements. (Les amendements identiques, n° 1212 à 1233, sont retirés.)
La session ordinaire débute la semaine prochaine et il n'est prévu qu'une heure de débat, une seule séance de questions d'actualité. Pourquoi ?
Parce qu'il y a, je crois le savoir, des journées parlementaires organisées par des groupes de la majorité.
Nous avions prévu une journée parlementaire le 17 septembre. Lorsque nous avons appris qu'une session extraordinaire était programmée, avec des textes importants, nous avons décidé, quitte à bousculer nos agendas, d'avancer cette journée au 10 septembre
c'est-à-dire d'une semaine, pour nous permettre de participer aux réunions de commission, à supposer qu'elles nous aient laissé le temps nécessaire pour débattre réellement, ce qui n'a pas été le cas. Dernier point, vous dites que ce projet de loi est consacré à l'intéressement et à la participation. Son titre, qui a d'ailleurs évolué dans le...
Nous avons estimé que c'était un texte majeur, qui nous donnait l'occasion de débattre d'un sujet qui les sondages sont unanimes est la préoccupation majeure de nos concitoyens. Vous avez décidé de l'aborder uniquement sous la forme de la participation et de l'intéressement. C'est votre choix, assumez-le ! Nous avons décidé de travailler e...
puisque tous les articles additionnels que nous proposons contiennent des mesures destinées à améliorer le pouvoir d'achat.
Vous avez le droit de faire toutes les plaidoiries d'avocat que vous voulez,
il n'empêche que l'opposition est déterminée à défendre toutes ses propositions et à se battre pour que la participation ne soit pas dévoyée de son but originel. Tout le monde s'accorde d'ailleurs à dire qu'elle remonte au général de Gaulle, qui ne doit pas être parmi ceux auxquels vous vous référez le moins. Vous avez le droit de faire vos d...