Découvrez vos députés de la 14ème législature !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia

Interventions de Charles de CoursonLes derniers commentaires sur Charles de Courson en RSS


5468 interventions trouvées.

Il s'agit d'un amendement d'appel. En commission, puis lors de la discussion générale, nous avons évoqué le fait que les mesures prévues par l'article 1er ne concernaient que les salariés, ou plutôt seulement une partie d'entre eux. D'où ma question : quelle est la position du Gouvernement à l'égard des 10 % de travailleurs qui ne sont pas sal...

Je retire mon amendement. Mais, encore une fois, madame la ministre, il aurait été préférable, pour montrer que le Gouvernement s'adresse à tous les Français, que ce texte prévoie des dispositions en faveur des travailleurs non salariés. Admettons toutefois que le projet de loi de finances ou le projet de loi de financement de la sécurité soci...

Je suis quelque peu étonné par ce débat. Ceux qui liront le rapport de notre collègue Carrez pourront constater que sur 1,6 milliard d'euros d'exonérations, 950 millions d'euros représentent le relèvement de 50 000 euros à 150 000 euros de l'abattement par enfant. Ainsi, monsieur Montebourg, le calcul est très simple. Le barème allant de 5 % à...

dont la portée se trouve un peu réduite, d'ailleurs, par la suppression de l'abattement global de 50 000 euros.

Monsieur Montebourg, si vous n'avez qu'un seul enfant, ce n'est pas 100 000 euros

Eh bien, si vous en avez deux, leur abattement s'élève à 150 000 euros, mais ils perdent chacun la moitié de l'ancien abattement global et il reste une augmentation de 75 000 euros par personne, à savoir de 5 % à 20 % de cette somme, soit, au maximum, 20 000 euros.

Vous aurez toutes les informations souhaitées dans le rapport, y compris sur les autres mesures, notamment celle valables entre conjoints : de même que précédemment, il faut multiplier le différentiel par le taux.

a rappelé que la France défendait depuis 2006 une position pour le moins contradictoire en souhaitant une stabilisation de la part de chaque rubrique du budget tout en réclamant des politiques nouvelles qui ne peuvent, à l'évidence, être mises en oeuvre que par un financement supplémentaire ou par un redéploiement. Or, la proposition de résolut...

a insisté sur la nécessité d'adopter une attitude cohérente : si la France ne veut pas que le seuil de 1,048 % du PIB soit franchi, elle ne doit pas demander la mise en oeuvre de politiques nouvelles. Le Rapporteur général a estimé important d'entendre le secrétaire d'État chargé des affaires européennes, M. Jean-Pierre Jouyet, sur ce sujet. L...

a rappelé que l'engagement pris par le Président de la République de limiter le déficit public français à 2,4 % du PIB en 2007 impose d'améliorer les comptes publics d'au moins cinq milliards d'euros d'ici fin 2007. Après que le Rapporteur général a relevé que les plus values de recettes du budget de l'État devraient y pourvoir, la Commission ...

Cet amendement est important parce qu'il essaie de clarifier un point qui a suscité un débat délicat en commission portant sur le fonctionnement du système de suppression des cotisations sociales, y compris de la CSG. Comme l'explique notre rapporteur, page 81 de son rapport, il y aura une compensation à hauteur de 21,46 %.

Certes, mais il faut l'expliquer maintenant parce qu'un décret peut aussi s'attaquer. Or il est de jurisprudence constante, c'est l'un des problèmes du montage, qu'on ne peut pas compenser des impôts par un décret. Un acte réglementaire ne peut pas décider de prendre en charge des impôts.

L'amendement que nous proposons consiste à bien préciser qu'il n'y a pas d'exonération de CSG sur les heures supplémentaires, comme le note notre rapporteur dans son rapport. Si on ne le faisait pas, on courrait le risque que certains considèrent qu'en fait c'est une fiction, c'est-à-dire que le taux de 21,46 % de réduction annoncé inclut les ...

Étant donné que ses déclarations engagent le Gouvernement pour la suite, je retire mon amendement. Je souligne néanmoins que l'abattement de 21,46 % se décompose en deux parties : une partie suppression et compensation des cotisations relatives à la maladie et au régime de base ; et une autre partie qui s'analyse comme une bonification des heur...

Pour ma part, je voudrais féliciter M. Cahuzac ! Pourquoi ? Parce qu'il a fait acte de repentance. (Sourires sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen.) Il a, en effet, reconnu que François Mitterrand le prince de l'ambiguïté comme on le surnommait

s'était fait élire en sachant parfaitement que ce qu'il promettait ne pourrait pas être financé.

Je vais même plus loin, monsieur Cahuzac. Vous vous découvrez soudainement vertueux. Mais que ne l'avez-vous été durant la campagne présidentielle ?

Pourquoi n'avez-vous jamais posé une question toute simple à Ségolène Royal : comment allait-elle financer les 62 milliards que représentaient ses promesses ? (Applaudissements sur les bancs du groupe Nouveau Centre et du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Je ne vous reproche pas aujourd'hui de poser la question du financement, mo...

Vous n'allez jamais au fond des choses. Or, en politique, il faut toujours se méfier des effets boomerang, monsieur Cahuzac !