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Que vous pillez !
Il y a la qualité, à défaut de la quantité !
Tout à fait !
Ce sont des godillots !
Grâce à notre politique ! Vous ne pouvez pas en dire autant : il n'y a rien à engranger.
Si la règle te gêne, tu changes la règle !
Un oubli, sans doute.
Je comprends que le ministre et la majorité poussent un ouf de soulagement. Néanmoins le débat sur les retraites n'est pas terminé.
La protestation est encore forte. Votre projet est tellement injuste qu'il a mobilisé beaucoup de monde.
Le débat va se poursuivre dans les prochains mois et il sera permanent jusqu'en 2012 parce qu'il concerne l'ensemble des Français. Ne pensez pas que le sujet est bouclé ! Monsieur Méhaignerie, il faut arrêter de culpabiliser les Français à cause de leur modèle social, surtout quand vous ne dites pas la vérité. Ainsi, vous ne cessez de répéter...
Mesdames, messieurs de la majorité, pourquoi votre réforme a-t-elle été rejetée par la majorité du peuple ?
Parce qu'elle est profondément injuste et qu'elle frappera principalement les ouvriers et les employés
dont l'espérance de vie est la moins élevée. La seule réforme juste serait celle qui prendrait en compte l'espérance de vie et qui permettrait aux ouvriers et aux employés qui ont des métiers difficiles, de partir à la retraite à soixante ans. Pour avoir ignoré cette règle, votre réforme est rejetée. C'est pourquoi, le groupe socialiste vote...
Et voilà !
C'est pour cela que l'on a mis la retraite à soixante ans !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, permettez-moi de faire trois observations préliminaires. La commission mixte paritaire au cours de laquelle a été élaboré le texte que nous examinons restera dans l'histoire. En effet, lors de sa réunion, nous nous sommes trouvés dans une situation singulière : le rapporteur de ...
À nouveau, ce soir, le président de la commission des affaires sociales est toujours absent, de même que le rapporteur pour avis tandis que le rapporteur de la commission au fond a été rétrogradé
au rang de citoyen député de base.
J'en conviens. Il reste que la situation est très particulière ; elle est même sans précédent dans l'histoire. J'ai vérifié : depuis cinquante ans, aucun ministre n'avait réussi à faire disparaître les rapporteurs du texte qu'il défendait devant le Parlement. (Rires et applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Monsieur Baroin, voilà déjà une chose que vous avez réussi à inscrire dans l'histoire avec nous. Je vous souhaite de laisser d'autres traces, mais c'est déjà cela de fait. (Sourires.)