Interventions en hémicycle d'Alain Vidalies
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Mais cela existe déjà ! De quoi voulez-vous parler ?
Ce ne sont que des préavis !
Voilà !
Voilà !
Ce débat était censé nous permettre de parvenir à un accord. Or la majorité a subrepticement amendé le texte sans paraître s'inquiéter des conséquences de ses actes. C'est que le degré de qualité de notre démocratie se mesure aussi à la place que l'on réserve à l'opposition dans l'examen d'un texte destiné à améliorer les moyens de contrôle don...
C'est un débat de fond que celui qui porte sur le champ d'investigation des commissions d'enquête, notamment en ce qui concerne le périmètre du chef de l'État, et surtout celui des instances judiciaires en cours. Le principe de précaution appliqué à la séparation des pouvoirs est une fausse bonne idée. Évidemment, cela a le mérite de la simpli...
Je n'ai pas dit cela !
Il faudrait peut-être suspendre la séance, en attendant que la droite arrive ! Les députés de l'UMP ne s'intéressent pas au sujet.
Scandaleux !
Ils n'ont pas eu le courage de venir ce matin !
Ils ne sont pas là ! Le sujet ne les intéresse pas !
Vous distribuez des milliards aux plus aisés, et vous venez nous faire la leçon au sujet de quelques millions en faveur des plus pauvres ! C'est une honte !
Ces propos sont incroyables ! Quelle honte ! Vous distribuez des milliards aux plus aisés et vous voulez nous donner des leçons pour quelques millions !
Pour l'UMP, le social, c'est de la comédie !
Belle démonstration !
Le Gouvernement pouvait contourner l'obstacle de l'article 40 !
Pour le bouclier fiscal, il n'est pas question de maîtrise des dépenses !
Ce n'est pas à vous de répondre, madame la présidente, c'est au Gouvernement ! Qu'est-ce que c'est que cette manière de présider ?
Voilà !
Monsieur le ministre chargé de l'industrie, monsieur le rapporteur de la commission des affaires économiques, mes chers collègues, pour justifier le changement de statut de La Poste d'établissement public en société anonyme, le Gouvernement et la majorité avancent essentiellement trois raisons : disposer des moyens d'affronter la libéralisation...
