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Bien au contraire, vous allez dresser les salariés les uns contre les autres les grévistes contre les non-grévistes. De même, vous risquez de dresser les organisations syndicales les unes contre les autres celles qui auront été à l'initiative d'un mouvement contre celles qui n'auront pas souhaité y participer. Nous sommes, les uns et les a...
..et apaisés règnent entre les grévistes et les non-grévistes de même qu'entre les salariés et la direction. À cet égard, monsieur le ministre, vous faites fausse route.
Vous n'avez pas voulu entendre nos arguments concernant le préavis de quarante-huit heures. Vous avez ici encore du temps pour réfléchir avant que nous ne nous séparions. La nuit porte conseil, monsieur le ministre. Profitez-en pour faire marcher votre réflexion et pour prendre une mesure de bon sens et de paix sociale en retirant cet inutile e...
Pour toutes ces raisons, monsieur le ministre, je vous demande de retirer cet article 6 et son inutile et injuste tentative de consultation, qui n'en est d'ailleurs pas une. Les relations sociales au sein de l'entreprise s'en porteront mieux ! (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe d...
Élémentaire, mon cher Dolez !
Le contraire nous eut étonnés !
C'est vrai que, ce soir, on travaille plus pour gagner plus !
Je ne comprends pas l'entêtement du rapporteur, voire de M. le ministre, sur ce sujet. La qualité première d'une loi est d'être compréhensible et lisible par tous, et, ensuite, il faut pouvoir la mettre en oeuvre. Je crains, monsieur le rapporteur, monsieur le ministre, qu'il ne soit difficile de procéder à une évaluation de la loi, comme c'est...
Ne vous emportez pas, monsieur Proriol ! Ce n'est pas à l'ampleur des décibels que se juge la valeur des arguments !
Que se passe-t-il dans la pratique ? Les parents, les directeurs d'école ou les principaux de collège sont prévenus la veille que le car ne passera pas le lendemain. Dans ces conditions, aucun enfant ne restera sur le bord de la route ! Ne vous entêtez pas, monsieur le rapporteur, monsieur le ministre ! Acceptez notre amendement qui suggère un...
Cela devient insupportable ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Le genre de discussion qui est en train de s'installer dans l'Assemblée est totalement inacceptable.
Le fonctionnement démocratique d'une assemblée veut que, lorsque la majorité s'exprime, l'opposition puisse lui répondre. Or une fois que la majorité s'est exprimée sur ses amendements, au moment où l'opposition s'apprête à lui répondre, par un stratagème qui devient superfétatoire et fatigant, la majorité retire ses amendements. Il n'y a pas d...
Monsieur le président, je vous demande tout simplement de laisser la possibilité à l'opposition de s'exprimer sur l'amendement avant que l'auteur de l'amendement nous dise s'il le retire ou non. C'est une question de justice, d'égalité de traitement de tous les parlementaires dans l'hémicycle. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union po...
Nous voulons parler du dialogue social, et non pas entendre M. Mariton !
Vous avez peur du dialogue social !
Les absents ont toujours tort !
Monsieur le ministre, depuis plusieurs heures vous nous dites, à chaque fois que nous présentons un amendement : « avis défavorable ». Et comme on s'étonnait de cette cascade d'avis défavorables, vous nous avez annoncé une bonne surprise.
J'avais cru que la bonne surprise allait arriver à l'occasion de cet amendement n° 160
car vous nous dites depuis le début de nos débats, monsieur le ministre, que vous êtes pour favoriser le développement du dialogue social. Nous le sommes aussi. Vous savez que pour que le dialogue social puisse se développer dans l'entreprise et prendre toute sa dimension, il convient qu'il y ait des représentants dûment mandatés. Quand il y a...
Monsieur le ministre, un beau geste !