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Cela justifie pleinement le refus que j'avais exprimé tout à l'heure. Je voudrais dire également à M. Gosselin qu'il n'y avait aucune prétention de ma part. J'essayais simplement de suivre attentivement, depuis les travaux de la commission, sa logique, qui est cohérente.
Ce débat est important et chacun a exprimé sa position. Cependant, en qualité de président de la commission spéciale, je voudrais vous mettre en garde : c'est vrai que le temps est long mais les journées sont courtes.
Si nous devons prolonger le débat, nous aurons à examiner des sujets importants demain ; nous serons alors dans une situation difficile, extrêmement frustrante pour les uns et les autres. Je n'ai aucun conseil à vous donner, mais il faudrait peut-être reprendre la règle qu'avec le rapporteur nous avions mise en place au sein de la commission s...
Très volontairement !
Je crois que ce débat était utile. Et si j'ai souhaité qu'il puisse avoir lieu dans cet hémicycle, c'est parce qu'il avait eu lieu en commission.
Je partage la position du rapporteur sur l'article 11 bis. Je suis d'autant plus attaché à ce dispositif que, avec notre ancien collègue Pierre-Louis Fagniez, nous avions passé de nombreuses heures pour convaincre l'Assemblée de l'adopter. L'expression « bébé du double espoir » est plus adaptée que celle de « bébé médicament », que je n'aime p...
Monsieur Breton, en l'espèce, tout le rôle des lois bioéthiques consiste à offrir une possibilité qui pourra être retenue dans le dialogue singulier entre la famille et l'équipe médicale. Le préalable, nous le connaissons tous : que l'enfant soit désiré pour lui-même. Ce n'est qu'ensuite qu'il apporte un soulagement à son grand frère ou à sa gr...
J'aimerais, monsieur le rapporteur, que vous m'apportiez une précision. Nous allons trancher dans quelques minutes entre interdiction avec dérogations et autorisation encadrée. Je me place quelques instants dans le régime que vous privilégiez, celui d'une interdiction assortie de dérogations. Accepteriez-vous, dans ce cadre, que des innovations...
Je ne peux pas dire que nous arrivons à la fin du débat, mais tout ce que nous venons d'entendre le résume bien. Ce que j'avais affirmé dès mon intervention liminaire a été démontré tout au long de la discussion. Le système d'interdiction avec dérogations que la commission a retenu n'a pas le même sens ni le même contenu pour tous. Ce n'est pa...
Car, sur le fond, vous êtes favorable aux recherches sur les cellules souches embryonnaires. Et je suis convaincu, monsieur le ministre, que vous n'êtes pas loin de penser la même chose
Puisque l'on ne renouvellera plus ces lois tous les cinq ans, pourquoi voulez-vous rester dans l'ambiguïté pendant des années ? Nous partageons les mêmes valeurs : nous souhaitons le respect absolu de l'identité de la personne humaine ; nous respectons la volonté de non-marchandisation du vivant. Mais nous sommes, les uns et les autres, incapab...
Si c'est le cas, mon cher collègue, il ne faut pas transiger : il faut dire non à toutes les recherches sur les cellules souches embryonnaires !
C'est un débat tout à fait respectable, que nous n'avons pas eu en 2004. Si telle est la réalité, je le répète, il faut dire non aux recherches sur les cellules souches embryonnaires. Ce ne serait pas une exception ! Au lendemain de son élection, Barack Obama a signé un décret permettant le financement public de ces recherches qui étaient inter...
Oui, monsieur le président. (L'amendement n° 197, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Oui, monsieur le président. (L'amendement n° 198, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Défendu. (L'amendement n° 190, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)