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Les opérations symboliques qui ont eu lieu fusion de l'Université de Strasbourg, importante opération à l'Université de Bordeaux contribuent-elles à donner un sens à la coopération entre universités ? Le plan Campus a-t-il permis de donner un contenu aux PRES sans que tous les conseils d'administration ne montent au créneau ?
Certes, et c'est également le cas de nombreuses universités, mais les PRES, en l'état, n'ont pas beaucoup de réalité.
Ils doivent également attirer les organismes de recherche.
Je suis d'accord avec vous.
Un tel montage a-t-il été effectué ailleurs ?
La condition sine qua non pour que le plan Campus fonctionne n'est-elle pas la possession, par les universités retenues, de la dévolution du patrimoine ?
En la matière, le législateur que nous sommes n'a pas été bon.
Pourquoi entend-on parler d'un malaise universitaire à propos de ce plan ?
Il ne faut pas, en effet, les opposer.
Nous avons rencontré le même problème avec l'ANR.
On ne peut pas dire qu'il ait changé.
J'admire les présidents d'université ! Ils sont confrontés à de véritables parcours du combattant.
Chacun aura constaté que les deux amendements de suppression ont des motivations différentes.
Nous aurons ce débat en séance publique.
Nous avons eu ce débat en première lecture, et nous le reprendrons en séance publique. Pour l'heure, nous devons décider si nous revenons au texte adopté par l'Assemblée nationale en première lecture.
À titre personnel, je soutiens l'amendement AS 86.
Le problème des droits successoraux nous avait été opposé en 2002, à ma grande surprise, après un long débat sur ce sujet très complexe, par le membre d'un cabinet ministériel. Il me semble qu'il aurait pu nous objecter des arguments plus sérieux.
Je signale qu'à titre personnel, je suis favorable à l'amendement AS 40, qui est très proche du mien.
Monsieur Meunier, ne mettons pas en cause la communauté scientifique française. Quelle que soit votre position sur ce sujet, vous savez fort bien que les chercheurs font excellemment leur travail, qu'ils se posent des questions éthiques et qu'ils respectent nos lois.
Comme cela a été dit, le temps de la recherche est un temps long qui ne coïncide pas avec le temps politique ni le temps médiatique. Entre le moment où on entrevoit un progrès thérapeutique potentiel et celui où il pourra être obtenu, beaucoup de temps peut s'écouler. Sur les cellules souches embryonnaires, on en est encore, dans la plupart des...