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Interventions en hémicycle d'Yves Durand


519 interventions trouvées.

Concernant l'absentéisme et sans vouloir personnaliser le débat en parlant systématiquement de la loi Ciotti , nous proposons de supprimer la loi de septembre 2010, car les mesures qui y figurent sont stigmatisantes et tout à fait inefficaces, contrairement à ce que vous avez prétendu, monsieur le ministre. Au moment de son examen, nous avi...

Pourquoi refusez-vous avec autant de vigueur l'institutionnalisation de ce qui existe déjà ? J'y vois là la volonté de ne pas affronter des parents qui sont majoritairement favorables à la scolarisation des enfants de trois ans. Ma région a fait de la scolarisation précoce une priorité pour l'académie de Lille, sous tous les gouvernements, de ...

Notre vision est différente. Nous considérons que c'est dans le cadre de l'école, pendant le temps scolaire qu'il faut lutter contre l'échec scolaire, pour la réussite scolaire, devrais-je dire. Si nous faisons le même constat, nous n'avons pas la même approche du rôle de l'école dans la réussite scolaire et la société et donc pas la même ambi...

Lors du débat en commission, j'avais soumis cet amendement à l'appréciation de mes collègues, qui l'ont majoritairement rejeté, comme ils ont d'ailleurs rejeté tout le reste. À titre personnel, il me paraît toujours bon que nous ayons une évaluation des politiques menées. Le Parlement joue alors tout son rôle de législateur, bien sûr, mais égal...

Dans le cadre du rôle de contrôle et d'étude du Parlement, il s'agit de demander une sorte d'étude d'impact sur la scolarisation, si les parents le souhaitent, des enfants de deux à trois ans, pour voir comment nous pouvons passer, pour les enfants de cet âge, des gardes familiales et traditionnelles à une véritable scolarisation, dans le même ...

Il est bien évident qu'une mesure de punition scolaire ne peut absolument pas faire référence au code pénal et qu'elle n'a rien à voir avec un travail d'intérêt général. Cette précision qu'introduit l'amendement tombe sous le sens. Monsieur le ministre, je souhaiterais un éclaircissement. Vous avez évoqué des aides personnalisées à l'intérieur...

Non, monsieur le ministre, puisque c'est soit avant l'école, soit après l'école, soit de plus en plus, pour éviter que la journée ne soit trop longue, pendant la période méridienne, celle du repas. Le fait que ces deux heures d'aide personnalisée ne soient pas utilisées pendant le temps scolaire constitue d'ailleurs un des inconvénients majeurs...

Après seize heures, les élèves ne sont plus dans le temps scolaire !

Je répète que ces heures de soutien ne sont pas effectuées durant le temps scolaire !

Tout à fait d'accord, monsieur le président. Mais si monsieur le ministre n'avait pas apporté des imprécisions lors de son intervention, je ne me serais pas permis d'aborder ce problème.

Permettez-moi deux observations très simples. Si ce que dit monsieur le ministre est juste, il y a une inégalité de traitement entre des enfants

Ce sont de faits. Je ne suis pas professeur de mathématiques, simplement ancien professeur d'histoire et géographie, mais j'observe que ceux des enfants qui n'ont pas besoin de ces deux heures d'aide personnalisée vont avoir vingt-quatre heures de cours tandis que les autres en auront vingt-six. Deuxièmement, monsieur le ministre, vous me semb...

Avis tout à fait favorable pour deux raisons. D'une part, cet amendement conforte la présence et la nécessité de ces réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté, ce qui est très exactement la philosophie de notre proposition de loi, à un moment où ces réseaux sont largement mis en danger. D'autre part, le fait de les étendre ou d'en ...

Sur l'injustice flagrante de cette réforme et le cadeau fiscal que vous faites aux 600 000 foyers les plus riches de notre pays, tout a été dit ou presque (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), mais nous continuerons à le redire dans cet hémicycle et à l'extérieur de cet hémicycle. Toutefois, à ce moment de nos débats, c'est sur l'ineffic...

Monsieur le ministre, mes collègues du groupe SRC ont suffisamment insisté, en exposant leurs arguments avec talent et précision, sur le nouveau cadeau que vous faites aux plus riches pour que je n'y revienne pas à cette heure avancée de la nuit. Au fond, votre problème, et celui de la majorité, avec ce projet de loi de finances rectificative ...