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Et voilà !
Allez-le leur dire : ils sont dans la rue devant l'Assemblée !
C'est laborieux !
Eh bien, c'est raté !
Nous sommes d'accord !
Le contraire ne l'est pas non plus !
Ce sont des moyennes !
C'est pourtant le cas !
C'est un peu jésuitique !
Nous n'avons jamais dit cela !
Nous voulons des réformes, mais pas les vôtres !
Ce n'est pas un député, c'est un aboyeur !
Indignes !
Je poursuivrai l'excellente démonstration de Patrick Roy. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Nombre d'entre nous sont maires. Si un maître est absent, non en cas de grève, mais pour maladie ou formation ce qui arrive de moins en moins souvent, parce qu'il y a de moins en moins de formations ou pour tout autre motif, et qu'il n'est pas remplacé après une ou deux journées d'absence, toute famille pourra, aux termes de l'article 2 tel...
c'est-à-dire qu'il organise non pas l'enseignement car ce n'est pas le rôle du maire mais l'accueil des enfants. Ainsi, le maire devra organiser, sur les deniers de la commune, l'accueil et non plus l'éducation, parce que le professeur habituel de l'élève n'aura pas pu être remplacé et que les enseignements n'auront pu être délivrés. Voilà...
Alors supprimez l'article 2, qui devient inutile !
L'article 2 est inutile ! Supprimez-le !
Hors de propos !