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Un député lozérien est à cinq heures de Paris et effectue environ 50 000 kilomètres de voyage par an. Il faut deux heures et dix minutes pour parcourir le département d'est en ouest de Recoules à Pied de Borne et deux heures quinze minutes pour le traverser du nord au sud de Saint-Julien-des-Points à Albaret-Sainte-Marie.
Ce bref panorama de la Lozère souligne combien le lien entre le peuple et ses représentants demeure le principe essentiel de notre système politique. L'Assemblée Nationale doit refléter la diversité sociologique des territoires. Si elle a toujours représenté les populations, c'est par le biais des territoires, où réside l'âme de notre nation. ...
s'est également attachée à respecter cette règle. Aujourd'hui, vous nous rappelez ce principe dans l'article 2 du présent projet de loi ordinaire. À cet égard, je souligne que la tradition républicaine n'a jamais été remise en cause depuis près de trois siècles, et qu'élus de gauche et de droite ont abouti au consensus sur cette question, not...
N'allez pas me reprocher de défendre les intérêts de la Lozère !
La terminologie employée dans cette jurisprudence est importante, car elle ouvre la voie à de possibles dérogations, comme ce fut le cas en 1986 pour les Alpes de Haute Provence et la Lozère. L'aspect juridique de notre débat me semble fondamental. Le Gouvernement pourra-t-il nous apporter son éclairage en la matière, afin qu'il n'échappe à pe...
J'y viens. En 1968, alors que notre société vivait des événements très particuliers, M. Prelot, sénateur du Doubs, s'exprimait ainsi : « On doit pondérer la représentation de telle sorte que les parties du territoire les moins peuplées conservent une influence dans les affaires du pays et ne soient pas vouées à un dépérissement irrémédiable »....
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, à l'occasion du débat budgétaire sur la mission « Sécurité civile », je vais insister sur la situation des pompiers volontaires dans notre pays, plus particulièrement en milieu rural. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : sur 250 000 pompiers, il ...
Très bien ! (Sourires.)
Mais important ! (Sourires.)
Il n'y a plus de contrats de plan, ils ont disparu.
Cela relève d'une décision communautaire !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, cette année encore, la maquette budgétaire a été modifiée. Si le programme 220, « Statistiques et études économiques », ne subit pas de changement de forme, le programme 305, anciennement dénommé « Politique économique et de l'emploi », s'appelle désormais « Stratégie é...
Ce chantier s'annonce difficile et s'échelonnera sur trois ans au moins. D'une part, on se heurte aux difficultés liées à la perte de savoir-faire d'un corps en grande partie renouvelé et fortement rajeuni, et dont la pyramide des âges présente une forme inhabituelle : les personnels embauchés en grand nombre pendant les années de la délocalisa...
C'est une excellente mesure, sur laquelle il faut tenir bon !
Qui va instruire les dossiers ?
Monsieur le ministre, vous avez bien voulu me confier récemment une mission sur l'agriculture de montagne dans la cadre du bilan de santé de la PAC. J'ai trouvé un grand intérêt et j'ai pris beaucoup de plaisir à travailler sur cette mission avec deux inspecteurs généraux de l'agriculture, un ancien salarié de la direction départementale de l'...
Je souhaite faire écho à ce que vous venez de dire, monsieur le ministre, et souligner que les députés du groupe UMP sont tout à fait conscients des difficultés que vous pouvez rencontrer dans des situations particulièrement difficiles, comme le traitement de la FCO, ainsi que de tous vos efforts en faveur de l'agriculture de montagne. Ma ques...
Monsieur le rapporteur spécial, je comprends votre position nous en avons parlé en commission des finances mais, compte tenu de la situation toute particulière de l'agriculture de montagne, je ne peux pas retirer l'amendement.
Et je tiens à ce qu'une position très claire soit exprimée. Toute la montagne rencontre aujourd'hui des difficultés, monsieur Barnier, vous le savez. Comme l'a dit M. Forissier, c'est un appel que nous vous lançons. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP.)
Monsieur le ministre, je comprends bien la problématique qui se pose aujourd'hui, mais il aurait fallu m'en parler avant, j'aurais peut-être eu une autre attitude. Compte tenu de ce que vous me dites sur l'impossibilité de prendre en charge une telle mesure, je vais retirer l'amendement n° 147, mais le problème se posera dans un autre amendemen...