3298 interventions trouvées.
Madame la présidente, j'ai écouté avec beaucoup d'intérêt l'opposition. Mes collègues de la majorité trouvent que j'ai un sens critique assez développé. Mais, sur ce texte qui était très attendu, je ne vois pas où sont les difficultés. La France est sur-administrée et sous-organisée, nous disent nos partenaires internationaux. Les procédures s...
Les maisons de l'emploi permettent de réunir tous ceux qui doivent participer à la politique de l'emploi,...
..que ce soit l'AFPA, les chambres professionnelles, les associations ou les élus locaux.
Mes chers collègues, laissons respirer les structures ! Je suis frappé, à la veille des élections municipales, par le nombre d'élus qui abandonnent leurs fonctions, usés qu'ils sont par la complexité et l'empilement de structures. Votre intention est louable, monsieur Letchimy, mais ne compliquons pas la tâche des responsables en multipliant le...
Les maisons de l'emploi sont financées ! Si nous voulons qu'elles soient un succès, il faut accepter qu'elles soient labellisées et évaluées en permanence. Il ne suffit pas de créer une structure supplémentaire, il faut la mobiliser au service de l'emploi, de l'entreprise, de la formation professionnelle. J'écoute toujours les critiques avec a...
Il s'agit d'un amendement rédactionnel.
Tout à fait !
On peut l'envisager !
C'est vrai !
Qui l'aurait ?
C'est caricatural !
Monsieur le haut-commissaire, une nouvelle dynamique de l'insertion, telle est l'ambition du Gouvernement et la vôtre. Que peut apporter le Parlement ? C'est l'objet de ce débat. Le RMI a vingt ans et chacun ressent qu'une nouvelle étape s'impose. Quelque 150 000 jeunes sortent sans formation du système éducatif. Lors d'un récent débat organ...
Michel Mercier a eu l'honnêteté de reconnaître que, si l'État devait encore aux collectivités départementales et régionales un milliard d'euros,
le même État prenait en charge des dégrèvements de cotisations sociales qui représentent beaucoup plus de deux milliards ! Je rappelle que l'État prend en charge 35 % de la taxe professionnelle et que, dans beaucoup de villes, 20 % des familles ne paient pas de taxe d'habitation et 30 % ont droit à des dégrèvements. Cessons donc ce débat !
Je ne suis pas sûr que l'évolution des cinq dernières années ait été au détriment des collectivités locales compte tenu du poids des dégrèvements. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Toujours dire que c'est la faute de l'État, c'est faire preuve de paresse. D'ailleurs, il suffit de se livrer à des comparaisons entre départements.
C'est son boulot ! Elle se doit de défendre les intérêts des collectivités locales. Certes, l'insertion peut être d'un coût élevé pour les collectivités locales. Mettre fin au contrat au bout de deux ans, c'est beaucoup trop rapide et leur prise en charge ne peut pas monter brutalement de 20 % de la rémunération jusqu'au niveau du SMIC. Le coû...
Moi si !
L'État seul ne peut y parvenir. D'ailleurs, j'ai proposé à M. le haut-commissaire, qui a assisté à un débat à la communauté d'agglomération de Vitré, sept objectifs. La vertu d'un grand peuple, ce n'est pas d'en appeler en permanence à l'État, elle réside dans l'esprit de responsabilité de ses citoyens. (Applaudissements sur les bancs du groupe...
Là encore, il existe d'énormes différences selon les collectivités.