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À l'inverse, vous défendiez avec beaucoup de vigueur ceux qui, dans la fonction publique, partaient après trente-sept années et demie. Alors, un peu de modestie, s'il vous plaît ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Très bien !
Monsieur le président, monsieur le ministre, 130 000 à 150 000 personnes en France pourront partir en retraite à soixante ans ou avant au titre des longues carrières ou de la mesure « 10 % ». C'est là une situation que l'on ne retrouve pas dans d'autres pays. Il peut pourtant se trouver des salariés ayant commencé à travailler à dix-neuf ans da...
Non !
Nous avons eu des jours et des jours d'audition ; nous avons travaillé trois jours en commission ; nous avons passé quatre-vingts heures ici. (« Et alors ? » sur les bancs du groupe SRC.) Vous avez tenu des propos répétitifs, destinés uniquement à provoquer ces incidents. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Je le regrette profondém...
Je comprends que, dans la situation actuelle, le Gouvernement ait un avis négatif. Je rappelle tout de même que nous avons eu de longs débats sur les retraités et la Polynésie. Il y a des avantages qui, compte tenu de l'évolution des conditions, ne sont pas acceptables par l'opinion publique. Je souhaite donc vraiment que, lors des débats budgé...
Monsieur le président, je ne veux pas prolonger les débats, mais j'ai trouvé, pour une fois, que Charles de Courson y allait un peu fort. (Rires sur les bancs du groupe SRC.) Regardons la compétitivité des entreprises françaises et les mesures prises par l'Allemagne pour revenir à un taux de chômage inférieur à 5 %.
Parmi les mesures progressives que nous pourrions prendre, nous allons en proposer une, cette année, qui nous permettra d'économiser 2,2 milliards : la suppression du treizième et du quatorzième mois. Il s'agit de mettre ainsi sur un pied d'égalité les entreprises qui travaillent sur douze mois et celles qui donnent un treizième, voire un quato...
Je voulais donc dire à l'ami Charles de Courson, avec qui je suis très souvent d'accord, que, ce soir, il y était allé un peu fort.
J'essaie de me contenir et de ne pas trop intervenir, mais M. Muet commet à chaque fois des erreurs. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Monsieur Muet, quelles ont été les mesures prises ces dernières années en Allemagne pour assurer la compétitivité des entreprises ? Les prestations sociales ont diminué, les dépenses d'assurance malad...
Exactement !
Très bien !
Quelle naïveté !
Mes chers collègues, mon intervention sera brève, car je vois la fatigue marquer certains visages. J'ai écouté l'ensemble des interventions. Recherchant la part de vérité qu'elles pouvaient contenir (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC), reconnaissant leur part d'excès et de caricature,
je pensais au grand article que François Furet avait consacré dans Le Monde, quelques semaines avant sa mort, aux élections législatives de 1997. Il écrivait alors : « Sur l'emploi, la droite n'a pas dit grand-chose de peur de déplaire et la gauche a dit des choses fausses pour plaire. » (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Je me demand...
J'ai le droit de m'exprimer, monsieur. De ces cinq heures de débat sur l'article 5, je retire quelques leçons. Ainsi que l'ont souligné certains collègues de la majorité, deux faits nouveaux éclairent notre discussion. Tout d'abord, dans Le Parisien du 7 septembre, Martine Aubry a déclaré, et c'est le coeur du débat : « Je défends la liberté d...
Ayez l'honnêteté de le dire ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Cette phrase explique, selon moi, l'absence de Martine Aubry lors du débat télévisé d'hier soir. (Mêmes mouvements.)
Pourriez-vous me laisser m'exprimer ? Je vous ai écoutés sans faire de commentaires.
Quant à Gérard Collomb, le maire de Lyon, il déclarait ce matin, dans le même journal : « Je ne comprends pas très bien la position du PS. Les socialistes doivent sortir du flou, de l'ambiguïté. » (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Depuis le début de la discussion, nous sommes dans le flo...
Mais il ajoutait et cela s'adresse à la majorité : « Ce relèvement ne serait injuste que si l'on ne prenait pas en compte la situation particulière des gens qui ont commencé très tôt leur vie professionnelle. »