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a estimé que les migrations étaient l'une des priorités sur lesquelles l'Union pouvait faire d'importants progrès, notamment pour ce qui concerne les contrôles de l'immigration légale et illégale, les visas, la politique de co-développement et celle de retour. Ce sera en revanche plus long d'obtenir de semblables résultats en matière d'asile, c...
a indiqué que la France, comme le Président de la République l'a exposé lui-même devant le Congrès américain, est pour une défense européenne capable d'intervenir sans recueillir forcément l'approbation des Etats-Unis. Nous voulons un pôle européen de défense, autonome par rapport aux Etats-Unis. Ceux-ci ne peuvent d'ailleurs pas porter seuls l...
a interrogé les membres de la délégation suédoise sur la teneur précise de la position des partis politiques suédois sur cette double question de l'adhésion à l'OTAN et de la défense européenne.
a relevé que, contrairement à ce qui est souvent perçu, la France n'est pas systématiquement opposée aux Etats-Unis. Au moment de la crise de Cuba, le général de Gaulle a été le premier à apporter son soutien aux Etats-Unis. Malgré le grave désaccord sur l'Irak, il ne faut pas oublier qu'après les attentats du 11 septembre 2001 le Président de ...
, déclarant se réjouir d'accueillir une délégation de la Grande Commission de l'Edunskunta finlandaise, « modèle » de contrôle en matière européenne, a rappelé qu'il avait eu, le 3 avril 2008, un entretien approfondi avec le Président du Parlement finlandais et que la Délégation pour l'Union européenne avait déjà reçu plusieurs délégations des ...
, évoquant le processus de ratification du traité de Lisbonne, a rappelé que la France était le cinquième Etat membre à y avoir procédé parmi les treize qui l'ont déjà ratifié. Tout en se réjouissant que la Finlande s'engage dans le processus de ratification et que celle-ci se déroule dans de bonnes conditions, y compris au Royaume-Uni où les d...
a rappelé que la France va présenter à l'occasion de sa présidence un plan en matière d'immigration. La Délégation a auditionné sur ce thème M. Brice Hortefeux, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire. Le contenu du plan n'est pas encore dévoilé à ce jour, mais dans ce domaine la France...
a souhaité engager le débat sur l'énergie et le climat. Ces questions ont été largement abordées avec M. Sauli Niinistö, Président du Parlement finlandais. La France comme la Finlande partent du postulat que les mesures européennes sont intéressantes mais que la vraie solution pour l'autonomie énergétique est le nucléaire. La Finlande souhaite ...
a constaté que le sujet reste tabou, comme l'ont montré les nombreuses auditions communes organisées ces derniers mois entre la Délégation et ses homologues étrangères. Les blocages principaux se situent en Allemagne, où la Grande Coalition reste divisée entre la CDU et la Chancelière, favorables au nucléaire, et le SPD résolument hostile, et e...
, après avoir rappelé que la France ne peut porter toutes les priorités à la fois dans le court délai de six mois que laisse l'exercice d'une présidence de l'Union, a indiqué que l'expérience scandinave et européenne est suivie de près par les ministres concernés, comme il a pu le constater lors d'un déplacement effectué en Allemagne avec le mi...
a abordé le sujet de la défense, qui est l'une des priorités de la présidence française de l'Union. Même s'il faut se garder d'engager trop vite un débat susceptible d'interférer avec les ultimes ratifications du traité de Lisbonne, en particulier dans les îles britanniques, il apparaît nécessaire de donner enfin à la politique étrangère et de ...
a considéré que la position de la France se tenant à l'écart de l'organisation militaire de l'OTAN n'était plus comprise par les nouveaux pays européens d'Europe centrale et orientale. La France doit donc réintégrer entièrement l'OTAN et a déjà fait des pas importants dans cette direction. L'Europe de la défense a la choix entre se structurer ...
a observé que la Suède évoluait et s'est déclaré très intéressé par la position finlandaise sur l'OTAN, laquelle suscite également un débat en France, moins aigu qu'en Finlande parce que ce pays compte d'abord sur lui-même pour assurer sa survie en raison de son histoire. Au vu de cet échange, il a constaté que la Finlande et la France ont des ...
s'est déclaré très heureux de recevoir la délégation de la Commission des affaires de l'Union européenne du Bundestag en soulignant que l'entente franco-allemande était une base incontournable de l'Europe. Après avoir rappelé l'importance de la reprise avec la Pologne des activités du Triangle de Weimar qui devrait désormais se réunir tous les ...
a rappelé que la Délégation avait envoyé plusieurs de ses membres dans certains Etats membres dont l'Irlande en vue de s'enquérir de leur position sur le traité de Lisbonne. S'agissant de la proposition émise par M. Michel Delebarre, le Président Pierre Lequiller l'a pleinement approuvée, y voyant un moyen de contribuer à une meilleure comp...
abordant la question du contrôle de subsidiarité, a déclaré que cette question revêtait en apparence une dimension très technique, mais elle peut être néanmoins comprise des citoyens si elle leur est clairement expliquée. Il importe en effet que les parlements nationaux tirent profit des dispositions du traité de Lisbonne pour prendre une p...
et le Président Gunther Krichbaum ont approuvé cette proposition.
a ensuite abordé les priorités de la présidence française. Il a tout d'abord évoqué l'Union pour la Méditerranée, puisqu'il s'agit d'un sujet qui a suscité des inquiétudes en Allemagne. C'est un beau projet, à la fois économique et politique, qui se justifie par le relatif essoufflement du processus de Barcelone. En revanche, il n'était pas acc...
a ensuite cité les autres priorités de la Présidence française : l'immigration, l'énergie et le climat, la défense et le bilan de santé de la politique agricole commune.
a indiqué que le co-développement était un des volets importants du pacte sur l'immigration. Il a partagé l'idée selon laquelle tout ne pourra être fait pendant la présidence française. Enfin, il a souligné que ce sujet touchait les citoyens.