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Les parents étaient donc prévenus. Dès lors, ceux des élèves qui pouvaient être accueillis par des voisins ou des grands-parents ne venaient pas et ceux pour lesquels les parents n'avaient pas de solution étaient accueillis à l'école, où ils étaient répartis dans les classes de collègues non-grévistes.
Vous, monsieur le ministre, vous voulez transférer aux communes ce qui devrait demeurer à la charge de l'État, sans régler les difficultés liées au financement de ce service, à la sécurité et à la qualification des personnels. Or on ne peut confier des enfants, même pour une journée, qu'à des personnels dont on est sûr qu'ils seront efficaces e...
Vous allez me répondre que la gauche ne fait jamais de propositions. Eh bien, à titre personnel car je n'en ai pas parlé aux membres de mon groupe , je suggère que l'on confie les élèves à des étudiants en IUFM, plutôt qu'à des personnels dont on n'est pas sûr des qualités pédagogiques. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour u...
Cette solution présenterait ainsi l'avantage de permettre à l'État de continuer à assumer sa mission. De toute façon, il ne s'agit que de quelques heures par an.
On voit que vous ne connaissez pas l'école !
Vous n'y connaissez rien !
Hors sujet !
Nous allons maintenant nous placer du côté des élèves !
Eh oui !
Jusqu'ici, c'est bien !
Nous ne sommes pas d'accord !
Travailler plus pour gagner plus !
Ce n'est pas une agence qu'il faut créer, ce sont des postes supplémentaires de professeurs !
Voilà ce qu'il faut dire !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues,...
de nombreux orateurs l'ont dit au cours de la soirée et vont sûrement continuer de le dire, l'école est une priorité pour la France.
Mais, si chacun le dit, chacun n'agit pas en conformité avec cette déclaration. J'ai du mal à comprendre comment M. le ministre peut, d'un côté, affirmer que l'école est une priorité et, de l'autre, supprimer chaque année des postes par milliers : 11 200 en 2008, 13 400 annoncés en 2009. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, rad...
Peut-être nous expliquera-t-il que c'est bien une priorité, car on prévoyait 15 000 ou 20 000 suppressions et qu'il a arraché le droit d'en faire moins. La raison de ma première colère qui ne sera pas la seule , c'est de voir que certains ne mettent pas leurs actes en accord avec leurs déclarations. (Exclamations sur les bancs du groupe de l...
Bien sûr que si ! Je sais de quoi je parle : j'ai passé vingt-cinq ans en école primaire. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Le droit à l'accueil existe déjà. Ce que demandent les familles françaises, ce dont ont besoin les élèves français, ce n'est pas un droit à l'accueil.