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Peut-être, mais c'est la méthode que je désapprouve !
C'est la disette ! (Sourires.)
Non, à vingt heures, les enfants sont au lit !
Madame la présidente, vous me permettrez de me faire l'avocat de M. Dionis du Séjour ou de M. Mathus. Nous sommes effectivement au coeur du débat, mais je crains que nous n'ayons pas le temps de l'aborder.
J'accepte par souci de démocratie ! Contrairement à ce qui a pu être dit, il n'y a pas ici, d'un côté, ceux qui seraient contre la publicité et, de l'autre, ceux qui seraient pour. C'est un sentiment qui peut être transversal au sein de cet hémicycle.
Pour ma part, je pense que, lorsque nous étions aux responsabilités, nous avons quelque peu failli sur cette question, car nous aurions eu le temps de mener un débat sur la mission du service public et la publicité sur France Télévisions.
Pour ma part, je suis favorable à la suppression de la publicité, mais pas dans n'importe quelle condition, pas de manière uniforme, et pas à n'importe quel moment. Madame la ministre, je m'inscris en faux contre ce que vous dites : à vingt heures, toute la famille n'est pas devant la télévision. En tant que père de cinq enfants, je peux vous ...
À cette heure-là, les enfants n'ont rien à faire devant la télévision. Le Président de la République a dénoncé le caractère nocif de la publicité. Pour ma part, j'irai plus loin en disant que certains messages publicitaires contiennent de la violence, pas seulement au niveau des images, mais en raison de ce qu'ils représentent. Dès le mois d'o...
M. le rapporteur nous a indiqué qu'une réflexion sur le sujet avait déjà eu lieu. Mais où et avec qui ? Nous avons besoin aujourd'hui d'un débat sur le rôle de France Télévisions, de la télévision publique et la publicité à la télévision.
C'est mon côté communiste, sincère et humaniste !
L'heure n'est pas aux gestes ; elle est aux actes !
Très bien !
Comme vous pourrez le remarquer, mes chers collègues, nous n'avons fait qu'une seule proposition. Nous aurions pu nous aussi déposer plusieurs amendements en procédant à un savant compte à rebours. Nous nous en sommes tenus aux directives de la commission Copé, laquelle, avec beaucoup de sagesse, avait proposé que cette loi s'applique à partir ...
Vous nous gâchez la nuit, madame la ministre !
Au contraire !
J'ai l'impression qu'ils ont été aussi longs en face !
Monsieur Herbillon, depuis le début de nos travaux sur ce texte, beaucoup de députés sont intervenus dans le cadre de l'exercice de leur travail parlementaire. Je n'ai aucune volonté en ce qui me concerne de faire de l'obstruction ou de gagner du temps, je veux simplement développer mes arguments et défendre mes amendements, et je le ferai jusq...
Heureusement que nous n'avons pas légiféré entre février 2007 et janvier 2008 ! Si j'ai rappelé les propos du Président, c'est que je n'admets pas que vous nous accusiez de mettre France Télévisions en difficulté, au motif que nous prendrions trop de temps pour examiner le texte. Celui-ci aurait pu venir en discussion plus tôt. Par ailleurs, i...
ce n'est pas nous, c'est vous !
Chacun l'aura compris, l'article 18 est l'un des plus importants du projet de loi. Il fait d'ailleurs débat au sein même de la majorité s'il faut en croire, outre M. Balladur, MM. Carrez, Baroin, Goasguen ou Rochebloine, qui se sont interrogés sur la question du financement.