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Pourquoi « évidemment » ?
Nous en sommes conscients !
Ce serait surtout une belle réalité !
Des oppositions !
On peut prendre les paris !
Sans doute, contrairement aux souhaits de certains, n'avançons-nous pas très vite dans l'examen du texte. Ce qui avance, toutefois, c'est la prise de conscience, sur certains bancs, que, contrairement à ce qui se dit et à ce qui s'écrit ici ou là, ce ne sont pas deux projets qui s'opposent, mais au moins trois.
Je remercie Dominique Dord d'avoir compris qu'il n'y a pas, dans cet hémicycle, une opposition, mais des oppositions. Je voudrais qu'on le réaffirme avec force et que les médias l'entendent. Quand Jean-Claude Sandrier intervient à la tribune pour dire que votre projet est un « projet Canada Dry », et que, une heure plus tard, France Info annonc...
Ce matin, mon collègue Roland Muzeau souligne que nous avons une heure et demie de débats supplémentaires, puis Marisol Touraine reprend à juste titre cet argument, après quoi une dépêche AFP annonce que les socialistes ont imposé une heure et demie supplémentaire à la majorité. Il faudrait rétablir certaines vérités. Fermons la parenthèse.
Ce n'est pas l'essentiel de mon intervention, mais je tenais à faire cette mise au point. La proposition de loi que nous avons déposée repose sur deux constats. D'une part, si la situation en matière de financement des retraites est ce qu'elle est, c'est parce que la France compte au moins 5 millions de travailleurs potentiels privés d'emploi. ...
Dans le cadre d'une véritable réforme du régime des retraites et de leur financement pour les années à venir, il faudrait prendre en considération le grand nombre de personnes qui, en France comme dans d'autres pays, bâtissent des fortunes sans travailler. Si on l'ignore, on ne réglera jamais la question des retraites. (Applaudissements sur les...
Absolument !
En apparence !
C'est faux !
Et les revenus qui ne sont pas liés au travail ?
Je vous remercie, monsieur le président, de me permettre d'intervenir assis. Des soucis achilléens m'empêcheraient de rester un quart d'heure debout, sur une seule jambe. Monsieur le secrétaire d'État, nous abordons aujourd'hui le coeur de la réforme territoriale entamée il y a quelques mois à la faveur de textes a priori anodins comme celui r...
Le conseiller territorial cumulera donc des fonctions. Votre projet institutionnalise le tripatouillage électoral car il est très clair que le mode de scrutin obligera à des marchandages, canton par canton, en fonction des intérêts locaux des uns et des autres. Dans ces conditions, réduire de moitié le nombre d'élus, c'est au contraire, croyon...
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, l'unanimité aurait pu se faire très facilement autour de ce texte. Malheureusement, une nouvelle fois, nous sommes confrontés à une basse manoeuvre parlementaire consistant à introduire dans un texte une mesure qui n'a strictement rien à voir avec lui...
pour nier complètement l'esprit de consensus qui régnait lors de l'élaboration des accords. Il sort du projet de loi lui-même. Comme le rappelle ma collègue Jacqueline Fraysse, qui connaît particulièrement bien ce secteur, tous les syndicats, sans exception, signalent que, par le biais de ce cavalier législatif, le Gouvernement remet en cause ...
Quoi qu'il en soit, il a fallu attendre que ces réformes soient votées ou aient été largement engagées, il a fallu attendre qu'elles aient complètement déstructuré les fondements du secteur public, pour que vous nous présentiez ce texte où les principes rénovés du dialogue social sont, pour reprendre une terminologie qui vous est chère, « pris ...
Avouez que c'est assez paradoxal et étrange de votre part. Nous aurions pu approuver ce texte, de la même façon que les syndicats l'avaient accepté, parce qu'il marquait, dans sa version originelle, une avancée notoire dans les fondements du dialogue social. Mais le contexte a changé. Les règles du jeu n'ont pas été respectées.