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Interventions d'Olivier JardéLes derniers commentaires sur Olivier Jardé en RSS


584 interventions trouvées.

Le XXe siècle a connu de grandes pandémies telles que la vache folle ou la grippe aviaire. Dans ce contexte, retirer aux vétérinaires la possibilité de faire de la biologie va à l'encontre du principe de santé publique. Je voudrais d'ailleurs associer Cécile Dumoulin à ce brillant amendement.

Jusqu'à présent, deux postes étaient réservés aux vétérinaires pour travailler dans les laboratoires de biologie vétérinaire. Je ne comprends pas pourquoi on supprimerait ces deux postes.

Ancien président de conseil national des universités, je signale qu'au sein des CNU, il y a des intersections. Ces intersections sont une valeur ajoutée pour notre université. Elles existent en addictologie, en chirurgie, en médecine légale, et je ne vois pas pourquoi nous devrions nous priver de ce type d'intersections au niveau de la biologie...

Je ne suis pas biologiste, il n'y en a que deux ! (Sourires.) (Le sous-amendement n° 270 rectifié est retiré.)

Ma question s'adresse à Mme la ministre de l'écologie et des transports ; j'y associe mes collègues Claude Leteurtre et Nicolas Perruchot. La SNCF fait face à des enjeux majeurs : construction de lignes TGV, ouverture à la concurrence, gestion du fret. Mais il y a aussi le quotidien. Et le quotidien, ce sont douze lignes malades, comme celle d...

On ne peut réduire la prise en charge des femmes à un argument financier. Se pose aussi la question de la compétence des intervenants : il se produit parfois que le service public dispose des ressources mais pas des compétences nécessaires. Ainsi, un de mes collègues très doué en chirurgie par robotique a quitté l'hôpital public pour le secteur...

J'abonde dans le même sens : il s'agit, non d'une insémination, mais du transfert d'un embryon existant. Qu'en fera-t-on ? Va-t-on le détruire, le donner à un autre couple, l'utiliser pour la recherche ? Pour ma part, j'estime qu'il conviendrait de laisser à la mère le droit de mener sa grossesse à son terme. Si son compagnon était mort juste a...

Je regrette que ne soit plus prévu de rendez-vous périodique avec le Parlement et les citoyens. Cela suscitait un grand intérêt parmi la population.

Treize mille personnes sont en attente de greffe aujourd'hui en France et 226 sont décédées l'an passé faute de greffon. Il faut donc absolument augmenter le nombre de donneurs. Bien que réservé sur le développement du don d'organes entre vivants, car celui-ci présente incontestablement des risques, je souhaiterais que les donneurs n'en soient ...

Si, ils peuvent subir une perte de salaire ou avoir à engager des frais de garde d'enfant. Cet amendement demande au Gouvernement de remettre au Parlement avant le 31 décembre 2011 un rapport sur l'amélioration du remboursement de l'ensemble des frais exposés par les donneurs.

Comme je l'ai dit, treize mille personnes sont en attente de greffe. Il nous faut donc augmenter le nombre des donneurs potentiels, même si je suis loin d'être un inconditionnel du don entre vivants. Cet amendement a l'intérêt majeur de lever un obstacle à ce don, ceux qui seraient disposés à le consentir pouvant redouter de se retrouver très h...

L'objectif des amendements AS 44 et AS 45 est d'abord d'inciter à une réflexion, personnelle et familiale, sur la question du don d'organes avant qu'elle ne se pose crûment. Dans les conditions actuelles, le moment où l'on est confronté à ce choix n'est en effet pas le mieux choisi pour inciter au don dans près de six cas sur dix, le refus de...

L'amendement AS 2, qui vise à réintroduire une disposition adoptée par l'Assemblée nationale en première lecture, précise que le prélèvement de cellules hématopoïétiques du sang de cordon et du sang placentaire, ainsi que de cellules du cordon et du placenta, a pour objectif de satisfaire le besoin de greffes allogéniques. Il faut éviter de fai...

L'amendement AS 3 vise à rétablir la disposition que nous avions adoptée en première lecture, afin d'éviter la multiplication des examens médicaux, souvent invasifs, voire nocifs.

L'enseignement supérieur et la recherche sont des domaines très importants pour l'avenir de notre pays, d'autant plus après la crise économique internationale que nous avons connue. Or, l'université et la recherche françaises doivent changer : elles sont en train de le faire ; leur évaluation est primordiale à cet égard. La complémentarité, v...

Ma question s'adresse à Mme la secrétaire d'État chargée de la santé. J'y associe mes collègues Leteurtre et Vialatte. Madame la secrétaire d'État, nous savons tous que la vaccination est l'un des grands acquis du XXe siècle en matière de santé publique.

Depuis 1974, et surtout à partir de 1990, les campagnes de vaccination ont été particulièrement élargies, entraînant une baisse importante de la mortalité, voire la disparition de certaines maladies. C'est dire le bien-fondé de ce taux élevé de vaccination en France. En 1990, nous étions au-dessus de 70 %. Aujourd'hui, nous régressons, puisque...