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Pourquoi les transférer alors ?
Vous n'avez pas compris ! (L'amendement n° 140 n'est pas adopté.)
C'est une habitude !
Nous y sommes très sensibles !
Vous voyez que je peux parler d'autre chose que des régions, monsieur le secrétaire d'État ! D'une manière générale, quand on est conscient de ses responsabilités en tant que député, il vaut tout de même mieux parler de ce qu'on connaît bien.
Sinon, c'est la technocratie qui prend le pas et l'on n'est plus dans la démocratie représentative. L'article 13 quater prévoit que l'État peut conclure directement des conventions d'objectifs avec les entreprises d'intérim. Par souci de cohérence, et pour introduire un peu de décentralisation, c'est à Pôle emploi que devrait revenir ce rôle d...
Vous ne nous avez pas convaincus, monsieur le secrétaire d'État. S'il est bien une « usine à gaz administrative », c'est le dispositif créé par cet amendement. La mission générale d'insertion est déjà normalement en charge de ces élèves-là. Avec les moyens en nette diminution qu'on lui accorde aujourd'hui, il n'est pas étonnant qu'elle soit en...
Il fallait que cela soit dit. En outre, monsieur le secrétaire d'État, si vous étiez conseiller général,
vous ne pourriez pas dire que l'apprentissage sert aux décrocheurs. C'est une hérésie que d'affirmer une telle chose.
C'est exactement ce que vous avez dit. Comment voulez-vous que nous attirions les jeunes vers l'apprentissage si vous en faites le symbole d'une situation d'échec ?
Je vous assure que c'est ce que vous avez dit ; en tout cas, c'est ce que j'ai compris. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Sortez les décrocheurs de l'apprentissage ! Ceux qui choisissent aujourd'hui cette voie en grande partie, d'ailleurs, grâce à l'action des régions ne le font pas parce qu'ils ont échoué, mais parce qu'ils veul...
C'est un scoop !
Et le financement ?
Je ne reviendrai pas sur ce que vient de dire Jean-Patrick Gille. S'agissant des écoles de la deuxième chance, je voudrais répondre à la question qui a été posée, celle du financement. Certes, l'État veut intervenir à hauteur de 30 %. Mais, d'une part, il faut que les régions apportent leur financement, ce qui est normal puisque la formation pr...
Oui, ce sont les politiques que mènent les régions, celles que nous menons tous, collectivement, et l'État aussi, puisque nous avons signé avec lui, paraît-il, un avenant au contrat d'objectifs consacré à l'apprentissage un avenant dont on attend toujours les données. Ce qui est important, c'est de favoriser aussi l'apprentissage dans l'ense...
Il est normal que les missions locales soient évaluées au même titre que les politiques publiques. S'agissant des contrats d'autonomie, l'État a choisi de les conclure avec des opérateurs externes, ce qui s'est révélé être une erreur. Les résultats de ces contrats montrent bien qu'il ne suffisait pas de contourner les missions locales pour que ...
Ce sont des mots !
Évidemment !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, nous voici réunis, à quelques jours de la fin de la session, à la mi-juillet, pour débattre d'un texte annoncé de longue date et qui devait être, selon le Président de la République, l'un des plus importants de la législature : celui de la réforme...
Je citerai juste quelques communiqués qui corroborent nos propres critiques, celles que vous ne voulez pas entendre. Ainsi, pour le CEREQ, « cette loi ne simplifie pas le système, n'améliore guère le contrôle ; il n'y a pas de pilote dans l'avion, il n'y en aura pas demain. C'est toute l'architecture qu'il fallait revoir, au lieu de cela une ré...