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Les amendements de Maxime Gremetz pour ce dossier

28 interventions trouvées.

Laissez-les, madame la présidente ! Quand on est obligé de se coucher comme eux, il faut bien se manifester un peu ! Cela fait trente-deux ans que je siège dans cet hémicycle.

Certes non, monsieur Proriol, et vous qui êtes aussi ancien que moi, vous devez savoir que jamais nous n'avons vu pareille chose à l'Assemblée nationale !

Monsieur le ministre, nous avons eu un débat, nous avons souvent voté des amendements après des discussions très intéressantes. Et vous venez nous dire que tout ce qu'a fait l'Assemblée nationale ne sert à rien ! Vous nous amenez une liasse : voilà ce qu'on a décidé là-haut je ne sais pas où d'ailleurs , et l'on remet en cause l'essentiel de...

Vous aurez réduit le déficit public : on gagnera du temps, on gagnera de l'argent, on gagnera plein de choses ! Qu'est devenu le Parlement ? On avait l'habitude de parler des godillots. M. Jean Tiberi sait de quoi je parle. C'était le temps de la « majorité godillot ». Mais aujourd'hui, c'est pire encore ! Vous bouffez tout, même les anciens c...

Ce débat est important. On annonce à grand renfort de publicité qu'une nouvelle ministre a été désignée pour s'occuper de la dépendance et qu'un débat approfondi aura lieu sur cette question essentielle pour l'immédiat et pour l'avenir. Je ne comprends pas que nous anticipions sur ce débat. Monsieur de Courson, m'écoutez-vous, Charles-Amédée ?

Monsieur de Courson, si vous parlez d'utiliser un rabot pour réduire les niches fiscales, je vais vous parler d'une varlope. Savez-vous ce dont il s'agit ?

Pour les niches fiscales, le regretté premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin, disait à propos des 30 milliards d'exonérations patronales qu'ils ne créaient pas un seul emploi et qu'ils ne faisaient que favoriser les effets d'aubaine.

Vous prenez des mesures telles que celle dont nous débattons, mais pour les vraies niches fiscales, celles qui ne profitent qu'à quelques-uns, vous ne sortez ni le rabot, ni la varlope !

Pendant ce temps, avez-vous vu les résultats des entreprises du CAC 40 ? Ce sont 84,3 milliards de profits ! Je soutiens donc tout à fait cet amendement de suppression, en attendant le grand débat sur la dépendance.

Je trouve que proposer de diminuer les crédits de l'APRE au motif qu'ils ne sont pas utilisés est un peu fort de café. Tel qu'il est conçu, ce dispositif est actuellement complètement inefficace. Or, comme nous le voyons dans nos permanences, il y a des tas de demandes qui ne sont pas satisfaites. Quant à Pôle emploi, regardez, monsieur le min...

Il est très gentil avec Mme Brunel. Bravo, madame, continuez ! Le seul problème, c'est qu'on prend sur les crédits de la lutte contre la pauvreté, comme s'il n'y avait pas 8 millions de pauvres en France, et comme s'il n'y avait pas non plus d'argent ailleurs que là ! La presse nous apprend pourtant aujourd'hui que les profits du CAC 40 frôlent...

Je suis très étonné des avis émis à propos de cet amendement, car la disposition qu'il tend à introduire ne coûte pas un sou ; malgré cela, vous le rejetez. Cela est d'autant plus extraordinaire qu'il avait été indiqué, lors des travaux de la mission consultative de M. Hirsch, qui préparait le RSA et dont je faisais partie, que chaque étape du ...

Si, c'est la même question. Il faut que les collectivités locales y trouvent leur compte. Je parle en connaissance de cause : la Picardie est la première région pour l'éolien.

Moi, je ne dis pas « tant mieux » ! M. de Courson a fait une magnifique démonstration : si le prix n'est pas relevé, les communes ne seront plus intéressées. Je rappelle en outre que nous n'avons pas encore de filière de production des éoliennes.

Il est tout de même formidable qu'on ne soit pas capable en France d'avoir une filière fabriquant des éoliennes. Ceux qui ne croient pas que l'éolien ait sa place parmi les énergies renouvelables sont d'accord avec cette proposition : c'est le meilleur moyen de casser le développement. À l'inverse, pour ceux qui veulent l'encourager, la propos...

Monsieur le président, monsieur le ministre, malgré les euphémismes et les formules alambiquées du Gouvernement pour tenter de masquer la réalité, les choses sont claires désormais : c'est un véritable plan de rigueur que le Gouvernement veut imposer aux Français. Poursuite de la politique de non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant...

C'est tout de même extraordinaire ! Comment s'est passée la discussion en commission élargie ? Les ministres ont parlé, les rapporteurs ont fait de même, puis on a donné cinq minutes aux représentants des groupes pour s'exprimer. Il n'y a eu aucun débat ! En tout et pour tout, sur l'emploi, sujet qui concerne des millions de Français, notre gr...