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Je vous en prie. Monsieur Bignon, poursuivez votre propos.
Ce n'est pas un problème de temps de parole, monsieur Bignon. Veuillez poursuivre.
La parole est à M. Daniel Goldberg.
La parole est à M. Étienne Pinte.
La parole est à M. Marcel Rogemont.
La parole est à Mme Pascale Crozon.
La parole est à M. Jean-Michel Villaumé.
Pour votre part, mon cher collègue, vous n'aurez pas été en manque de temps de parole puisque vous l'avez presque doublé.
La parole est à Mme Annick Lepetit.
C'est ridicule !
Cela n'a rien de libéral !
Ça tombe bien car rien ne change en la matière !
Monsieur Dolez, chiche ! Mais le résultat de ce référendum populaire, s'il était organisé,...
La parole est à M. Benoist Apparu, secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme.
..pourrait vous surprendre. En effet, toutes les enquêtes d'opinion montrent que les Français souhaitent, à 82 ou 83 %, que l'on remette de l'ordre dans notre lasagne territoriale. Voilà près d'un an, le comité Balladur pour la réforme des collectivités territoriales, dans lequel siégeait notamment Dominique Perben, remettait au Président de l...
D'habitude on y a droit, surtout en période de campagne électorale.
L'impératif de la réforme tient à la nécessité d'en finir avec la superposition des structures, l'enchevêtrement des compétences et des financements croisés, en clarifiant la gouvernance, les attributions et le financement des collectivités territoriales. On ne peut en effet supporter plus longtemps un système où, par exemple, les intercommunal...
Monsieur Juanico, vous aurez la parole tout à l'heure ! Les rois du conservatisme disent d'ailleurs que si cette réforme comporte des aspects positifs, il faudrait la traiter dans son ensemble. Mais, à force de vouloir faire une réforme globale, on ne fait jamais rien. Voilà la réalité ! En tout état de cause, là n'est pas l'essentiel et chac...
Du reste, je remercie le groupe socialiste d'avoir pris l'initiative d'organiser une enquête d'opinion sur ce point. Le seul que l'on connaisse, grâce à vous, c'est M. Frêche.
Madame Lebranchu, j'essaie de me mettre au niveau de votre intervention de tout à l'heure ! Ne faut-il pas voir dans ce défaut de proximité une cause du désintérêt des Français pour l'institution régionale, et de leur absentéisme récurrent lors des élections ?