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Les amendements de Martine Billard pour ce dossier

75 interventions trouvées.

Nous y sommes déjà confrontés en raison du prix de l'essence. Le ministre du budget a indiqué qu'il était difficilement prévisible que le prix du baril de pétrole atteigne un tel montant. Si le Gouvernement avait un peu plus écouté les députés Verts dans le cadre du débat budgétaire, il aurait peut-être mieux anticipé l'augmentation du prix du ...

S'agissant de l'amendement précédent, il est dommage que Mme la rapporteure m'ait répondu que le problème qu'il soulève n'a pas à trouver de réponse dans la loi. En effet l'une des difficultés tient au fait que les débats soient ainsi saucissonnés, ce qui empêche d'avoir une vision globale. Au-delà des aides pour faciliter l'acquisition ou le ...

Les Parisiens bénéficiant de transports en commun multiples et faciles d'accès, ce sont eux qui doivent faire le plus d'efforts pour ne pas avoir de voiture. S'il est des zones où il est impossible de rapprocher les lieux de travail des lieux d'habitation, partout où cela est possible il faut le faire. Telle est en tout cas ma philosophie. L'a...

Je maintiens l'amendement n° 53, monsieur le président. Puisque Mme la rapporteure m'assure que les deux amendements disent la même chose, votons celui-ci et le sien tombera. L'amendement n° 12 viendra beaucoup plus tard en discussion, je ne suis d'ailleurs pas convaincue que cela revienne au même.

Ce n'est pas la question ! Chaque député est libre de déposer un amendement et de le proposer au vote !

Il se passe peut-être beaucoup de choses dans les autres pays européens, madame la rapporteure, mais le chef de l'État n'y répond pas au citoyen : « Casse-toi pauvre con ! ». (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)

Peut-être faudrait-il aussi faire ce genre de comparaisons ? Il est en effet un peu facile de répondre systématiquement en choisissant vos exemples ! Cela dit, vous l'assumez. Il est vrai que c'est une manière de raccourcir le débat. Cependant, il me semble qu'il faut aussi répondre sur le fond. L'amendement n° 54 propose d'allonger le délai p...

Si, en effet, on ne cherche pas un emploi saisonnier dans les secteurs de l'hôtellerie, de la restauration ou du bâtiment, les entreprises ont une forte tendance à suspendre leurs embauches durant l'été.

Oh si, je peux vous l'assurer ; j'en ai fait personnellement l'expérience ! Obliger les demandeurs d'emploi à accepter, au bout de trois mois, une offre d'emploi rémunéré à 95 % de leur salaire antérieur, risque de créer des inégalités : les salariés qui se retrouveront au chômage à une période de l'année plus favorable rencontreront moins de ...

Madame la ministre, madame et monsieur les rapporteurs, vous avez oublié de rappeler que plus de la moitié des demandeurs d'emploi n'étaient ni indemnisés par les ASSEDIC ni bénéficiaires d'une allocation spécifique de solidarité. Cela, madame la ministre, va à l'encontre de votre philosophie selon laquelle il suffirait de priver les chômeurs d...

Franchement, comment peut-on proposer de priver pendant deux mois des demandeurs d'emploi de leur indemnité, quand moins de la moitié d'entre eux sont indemnisés et que plus de la moitié de ces derniers ne touchent même pas mille euros par moi ? Et vous proposez sereinement de les priver de leur indemnité pendant deux mois ! Deux mois, ce n'est...

Même si ces dépenses sont pratiquement nulles en Grande-Bretagne, cela ne suffit pas à ranger la France parmi les pays les plus avancés dans ce domaine. Vous nous avez expliqué comme une évidence, madame la ministre, qu'il n'y avait pas de droit sans devoir. Fantastique ! Appliquons donc cette règle à tous les domaines de la vie publique et de...

Mais si ! Votre projet se fonde sur l'idée que les chômeurs ne retrouvent pas de travail parce qu'ils font les difficiles et qu'il suffit donc de leur couper les vivres pour qu'ils retournent sur le marché du travail : c'est bien que vous considérez qu'on vit facilement avec moins de 1 000 euros par mois.

Et puis, comme vient de le relever notre collègue Gille, quelle précipitation à faire voter ce texte ! Même le président de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales a fait observer en commission que l'état actuel du droit propose déjà beaucoup de solutions : des sanctions, un projet personnalisé, un référent, des rendez-vo...

Pourquoi donc modifier maintenant la loi, alors que les négociations relatives à la convention UNEDIC n'ont toujours pas repris ? J'ajouterais à ce propos que ceux qui auraient accepté la rupture conventionnelle autorisée par la dernière loi que nous avons votée ne sont toujours pas indemnisés, puisque la convention UNEDIC qui devait organiser ...