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2638 interventions trouvées.

Cela nous servira aussi, monsieur Brard, vous qui connaissez si bien les magasins d'usine, dans le domaine de la confection, dans le secteur de l'industrie manufacturière, dans le secteur automobile. Parlez aussi avec de grandes entreprises qui ont l'habitude de travailler tant en France qu'en Allemagne, des groupes mondiaux remarquables comme ...

C'est vrai, nous sommes là bien loin des cénacles et autres cercles de pensée : il s'agit de l'économie réelle, de la vie réelle. Or c'est quand même là que se crée l'activité, c'est quand même là que se crée l'emploi. S'agissant de la taxe sur les transactions financières, que vous avez qualifiée, monsieur Muet, d'impôt de bourse,

je vous rappelle une donnée essentielle : l'impôt de bourse rapportait trois fois moins que ne rapportera la taxe sur les transactions financières. Excusez du peu, mais ça n'a rien à voir ! Vous parlez du Royaume-Uni. Regardez la masse financière que représente la place de Londres et considérez ce que rapporte la taxe sur les transactions fin...

Je voudrais tout d'abord rassurer M. Brard : j'étais arrivé bien à l'heure pour l'écouter, même si, je le reconnais, j'ai failli m'endormir. Heureusement, le président m'a réveillé en me signalant la fin de son propos ! Il faut bien dire que c'est toujours un peu la même chose, monsieur Brard : la veuve de Montreuil éplorée ou la grand-mère qu...

C'est une belle caricature, mais la réalité, vous le savez, est tout autre. La réalité c'est, par exemple, cette nouvelle conception de l'abstention qu'a développée le parti socialiste. Elle s'appelle « abstention dynamique » ce sont les propres paroles de M. Ayrault et les socialistes vont l'appliquer tout à l'heure sur le mécanisme europ...

L'abstention dynamique ! On n'a pas fini d'en sourire. Il est vrai qu'au PS, vous êtes très créatifs pour ce qui est des formules, parfois lyriques

pour définir ce qui est, ni plus ni moins, un « ni pour ni contre, bien au contraire » ! Quelle déception, à un moment où l'Europe entière se mobilise pour sauver la Grèce et où la France a su trouver les mots justes lors des négociations pour faire en sorte d'assurer l'avenir et de sauver ce pays qui, comme l'a dit tout à l'heure Alain Juppé...

Pourquoi voulons-nous cette diminution ? Pour faire en sorte que le chômage en France ne soit pas une fatalité et pour trouver une vraie solution à ce problème. Or, cette solution,

c'est de baisser le coût du travail de façon significative. Comme on le sait, les charges patronales vont baisser de plus de 12 % grâce à une mesure contenue dans le projet de loi de finances rectificative. C'est l'assurance de disposer d'une arme supplémentaire en faveur de l'emploi en France, soit pour son maintien, soit pour son implantatio...

contrairement à ce qu'affirmait M. Hollande le 16 décembre, évoquant les trois échecs de M. Sarkozy. M. Hollande voulait la récession ; il aura la croissance ! Grâce aux mesures prises sous l'impulsion du chef de l'État et mises en oeuvre par le Gouvernement, les déficits seront réduits. Grâce à la baisse du coût du travail, le chômage n'augme...

Ce triple échec sera celui de François Hollande, mais aussi celui d'une opposition que nous aurions souhaitée constructive et qui, à son habitude, ne l'a pas été. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)

Comment s'appellera la coentreprise ? Comment, par ailleurs, les équipes de Dexia seront-elles récupérées ? Un mécanisme particulier est-il prévu, ou cela se fera-t-il sous forme de démission-réembauche ? La coentreprise fonctionnera un peu comme Dexia