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À Vitré ?
Ça, c'est ce qu'il aurait fallu faire !
Vous les trompez !
Il serait souhaitable que ce débat difficile, qui suscite à l'évidence une certaine émotion, reste digne. Il convient donc de rappeler tout d'abord que personne n'a manipulé qui que ce soit.
Madame la ministre, nous nous sommes efforcés de vous écouter attentivement. Laissez-moi au moins terminer mon propos avant de vous indigner. Personne, disais-je, n'a manipulé qui que ce soit ni couru derrière qui que ce soit. Les internes sont assez grands pour avoir découvert seuls
les mesures susceptibles de freiner les installations dans tel ou tel territoire. Si vous les aviez interrogés pour savoir ce qu'ils en pensaient avant de déposer le projet de loi de financement de la sécurité sociale, vous n'auriez pas eu à l'amender dans une certaine précipitation qui confine à l'affolement, comme le prouvent les imperfecti...
Mais c'est le moyen que vous avez trouvé pour réintroduire ce que l'on appelle le zonage. J'ignore si les jeunes médecins, qui sont directement concernés, s'en satisferont, mais il est de notre responsabilité de soulever ces problèmes. Surtout, ainsi que Mme Touraine l'a très bien fait remarquer, la formule « notamment incitatives » est ambiguë...
Eh oui !
Monsieur le ministre, vous avez une tâche difficile. Il vous faut en effet assumer le passé, supporter le présent et nous garantir l'avenir. C'est, je le reconnais, beaucoup pour vous. Vous pouvez, certes, compter sur l'aide de rapporteurs loyaux, dont nous savons à quel point ils connaissent les sujets qu'ils traitent, mais pour représenter le...
J'y viens, madame la présidente. Vos hypothèses économiques, monsieur le ministre, sont fondées sur des prévisions extraordinairement optimistes de la croissance économique et des évolutions de l'ONDAM, car notre pays n'a jamais connu, au cours des cinq dernières années, ni une telle croissance ni une telle évolution. Dès lors, monsieur le mi...
L'article 9 nous permet d'aborder le poste des dépenses pharmaceutiques. Monsieur le ministre, je vais vous poser pour la troisième ou quatrième fois la même question, puisque vous n'y avez toujours pas répondu. En 2007, on constate un dépassement de l'ONDAM de 3 milliards d'euros dû aux soins de ville. Dans l'exposé des motifs de l'article 7,...
Je ne suis pas sûr que cet amendement ait recueilli toute l'attention qu'il mérite. Il s'agit d'un sujet très important, monsieur le ministre, et je considère comme une première dans le fonctionnement de notre assemblée que ce soit à vous, ministre du budget, que nous ayons à demander des engagements en ce domaine. Sans compter que la questio...
Ils ne sont pas très vieux. En tout cas, ils sont plus jeunes que nous ! Il n'y a dans mes propos aucune connotation péjorative.
Je constate, monsieur le ministre, que vous êtes obligé de demander des renseignements à vos collaborateurs, car ce dont nous parlons ne relève pas de vos compétences. Cela met en évidence un fait surréaliste et stupéfiant. Nous discutons de santé publique, mais Mme la ministre de la santé n'est toujours pas là.
Je demande la parole pour un rappel au règlement, sur le fondement de l'article 58, alinéa 1.
Si le pouvoir exécutif a le sentiment d'une obstruction parlementaire, monsieur Vitel, il dispose de tous les moyens d'y mettre fin. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Et si les ministres présents n'ont toujours pas, contrairement à vous, évoqué cette éventualité, c'est qu'ils ne sont peut-être pas de votre avis. Vous avez par ailleurs fait allusion à la qualité de la discussion générale. Je vous rejoins sur ce point, mais l'opposition n'en a pas moins le droit de rappeler ce qu'elle en a retenu pour pointer...
Soit, je vous en donne acte. Mais il a tout de même fallu vous interroger plusieurs fois pour obtenir votre réponse : nous l'avons aujourd'hui, et je vous en remercie. Quant à l'objet de mon rappel au règlement,
je vous ai demandé, monsieur le ministre, quelles étaient les épidémies et les soins pharmaceutiques justifiant une dépense supplémentaire de 3 milliards d'euros.
Vous ne m'avez pas répondu et, si vous ne le faites pas maintenant, nous serons obligés de considérer que vous refusez d'informer la représentation nationale et que, si obstruction il y a, elle est de votre fait. Ce ne serait pas la meilleure façon de poursuivre nos débats.