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J'en viens à la question des éco-technologies. Où en est le CNRS dans ce domaine ?
Faut-il constituer des pôles de compétitivité spécifiques, ou l'éco-technologie doit-elle être présente partout ?
Percevez-vous les pôles de compétitivité comme un accélérateur, ou comme une source de contraintes supplémentaires ? Votre activité a-t-elle augmenté, a-t-elle été simplement répartie de manière différente ?
D'où proviennent vos financements ?
L'INRA est-il représenté dans les instances de pilotage de tous les pôles auxquels il participe ?
Le fait que 80 % des aides se concentrent sur quinze pôles se vérifie-t-il aussi dans votre domaine de compétence ?
À votre avis, pourquoi ? Pour des raisons de confidentialité ?
En tant que sous-traitant des pôles, que pensez-vous du processus de sélection et d'évaluation scientifique des projets ?
Que pensez-vous de la taille des pôles auxquels vous participez ? Pensez-vous qu'il faudrait en regrouper afin qu'ils atteignent une masse critique, les rendant plus efficaces et plus visibles sur le plan international ?
De dix-sept pôles, à combien faudrait-il passer ?
L'INRA participe-t-il à des pôles tournés vers les éco-technologies même si le développement durable fait par définition partie de vos préoccupations ?
Peut-on dire, donc, que cette préoccupation est partout présente dans vos activités et que vous n'avez pas à vous spécialiser davantage sur ce thème ?
Les pôles de compétitivité ont-ils accru votre activité ou n'ont-ils fait que réorienter des activités préexistantes ?
Quels sont vos financements ?
Y a-t-il également des relations entre le CEA et les PME au travers du crédit d'impôt recherche ?
Quelle appréciation portez-vous sur les mécanismes de sélection des projets ? Le CEA participe-t-il à leur évaluation scientifique dans les pôles dont il est membre ? Comment cela se passe-t-il concrètement ?
Selon vous, les pôles devraient-ils parvenir à s'auto-alimenter ?
Aujourd'hui, 85 % des financements se concentrent sur quinze pôles, le reste s'apparentant à du saupoudrage. À votre avis, combien de pôles faudrait-il conserver ? Quelle taille devraient-ils avoir pour être à la fois vraiment efficaces et visibles au niveau international ?
Ces quinze pôles doivent-ils continuer d'exister ou certains doivent-ils être regroupés ou réorganisés ?
Pas nécessairement, si les pôles travaillent en réseau.