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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

172 interventions trouvées.

Non, ils ne sont pas tombés du ciel sauf si vous considérez que Montreuil est au ciel, auquel cas vous avez raison ! (L'amendement n° 281 rectifié n'est pas adopté.)

Du fait de l'obligation pour le prêteur contenue dans le projet de loi de s'assurer que le personnel sur le lieu de vente est dûment formé à la distribution de crédit et à la prévention du surendettement, il est primordial d'adapter chaque formation en fonction du produit vendu. Il ne faudrait pas que cela se passe avec les centres d'appel où l...

Il y a un grand avenir pour les centristes quand les poules auront des dents ! (L'amendement n° 241 rectifié n'est pas adopté.)

Il est trop facile de s'en sortir avec un tel argument, monsieur le rapporteur : « réglementaire, réglementaire » ! Vous connaissez le fonctionnement de l'appareil d'État. Je suis sûr que si vous étiez dans ma position, vous auriez exactement la même opinion que moi. Il faut faire confiance, mais c'est encore mieux de contrôler. D'une certaine...

Le rapporteur fait preuve de bonne volonté. Comme j'en attendais autant de sa part, je fais un geste et je retire mon amendement. (L'amendement n° 278 rectifié est retiré.)

Autrefois, notre collègue François Goulard avait la réputation d'être un libéral au sens économique. À présent, et si l'on en croit ce qui est écrit dans les gazettes, il est villepiniste. Je me demandais ce qu'était un villepiniste : maintenant, je le sais ! Libéral égale donc villepiniste. Que les Français qui nous regardent ne s'y trompent p...

Non, pas du tout ! Monsieur Ollier, vous êtes maire, et vous ne savez pas que pendant la durée des travaux, il peut y avoir des déviations. Dans l'hémicycle, il y a des travaux législatifs. (Sourires.)

Soit, mais c'est pour rendre le propos plus clair ! (Sourires.) Madame la ministre, pour une fois, je suis d'accord avec vous : votre texte n'est pas très bon. En ne prévoyant qu'un député et qu'un sénateur, vous empêchez le pluralisme. Il aurait fallu au moins deux députés et deux sénateurs, comme c'est la règle d'ailleurs dans beaucoup d'ins...

Nous serions en effet représentés. Avoir une opposition, quelle qu'elle soit selon les périodes, c'est toujours une garantie de transparence. Or notre collègue François Goulard veut même démonter les panneaux de signalisation aux carrefours, et le quarante tonnes l'emportera évidemment sur la Fiat Uno ! (Sourires.) Pour ma part, je suis pour l...

Je parle de Lacordaire et non de François Goulard (Sourires), qui n'aurait pas été admis dans les ordres car, en pratiquant contre la justice et l'égalité, il pèche. Quoi qu'il en soit, madame la ministre, j'adhère, pour une fois, à votre point de vue, même s'il est imparfait, et je milite contre l'amendement de François Goulard, soutenu par L...

Qui n'aspire à posséder une belle maison ? Vous le savez bien, madame la ministre : depuis la Révolution, au fond de chacun de nous sommeille un propriétaire. Certains parviennent à satisfaire leur fantasme, d'autres moins. Ou bien on rêve de posséder une belle voiture. Nous avons évoqué tout à l'heure les choix possibles : une Ferrari ou une ...

Je partage votre avis sur la Twingo, mais je n'ai pas la même opinion favorable du patron de Renault.

Voyant les réactions de nos collègues de la majorité, je me dois de leur rappeler l'existence d'une sorte de futur que nous avons tous appris sur les bancs de la communale : le futur proche ! (Rires.) Je constate que cela ravive des souvenirs ! Notre amendement est de même nature que celui qui vient d'être défendu par Jean Gaubert en ce qu'il ...

mais cela devenait intéressant : notre collègue défendait la production nationale malgré M. Ghosn. Je reviens au sujet qui nous occupe. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.) De nombreuses personnes veulent aussi posséder les derniers gadgets : le dernier écran plasma, le dernier téléphone portable, etc. Heureusement, les sociétés de crédit...

Madame la ministre, votre raisonnement souffre d'un déséquilibre. En effet, vous discutez avec les opérateurs, c'est-à-dire avec ceux qui profitent. Naturellement, leur conception du point d'équilibre n'est pas nécessairement la nôtre : le taux de rentabilité qu'ils exigent n'est pas raisonnable. À mille euros, cela passe de justesse, avez-vou...

Madame la ministre, nous prenons part à un exercice très intéressant. Cet amendement n'est pas capital pour l'équilibre de votre texte. En outre, nous connaissons les marges de manoeuvre dont vous disposez : à la différence d'autres membres du Gouvernement, vous n'avez pas besoin d'un arbitrage de Matignon ou du palais de Sa Majesté pour accep...

Madame la ministre, je note que nous progressons grâce au dialogue. D'abord, vous progressez dans la voie de l'autocritique.

Oui, je sais que vous avez de bonnes lectures désormais. Mais comme disait Marx, « la preuve du pudding, c'est qu'on le mange ». Vous avez déjà la substance liquide, il nous faut maintenant voir s'il y a le pudding avec et si vous le dégustez ainsi que Marx l'a conçu. Vous savez, la vie est un long processus dont les contradictions incessantes...

Vous n'allez pas me dire que c'est difficile pour vous, parce que je sens que vous reculez devant les difficultés.

Madame la ministre, vous avez indiqué que vous avez consacré plus de temps aux associations de consommateurs qu'aux banquiers. Je pourrais en tirer une conclusion facile jusqu'à laquelle je n'irai : c'est qu'avec les banquiers vous tombez spontanément d'accord et que les réunions sont vite terminées, tandis qu'avec les consommateurs le débat es...