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C'est ne pas connaître le problème que de dire cela !
C'est vrai !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, il n'est pas rare dans cet hémicycle que nous débattions de la situation des sapeurs-pompiers, mais il est rare que nous évoquions spécifiquement les sapeurs-pompiers volontaires. Or, chacun le reconnaît, la situation du volontariat devient inquiétante, puisque les effectifs sont...
N'oublions pas, en effet, la loi du 31 décembre 1991 relative à la protection sociale des sapeurs-pompiers volontaires en cas d'accident survenu en service, celle du 3 mai 1996, relative à la facilitation de l'engagement des sapeurs-pompiers volontaires et celle du 13 août 2004 instituant la prestation de fidélisation et de reconnaissance. Tou...
Si seulement ça pouvait être vrai !
Très juste !
Vous commencez fort !
Mais ce qui compte, une fois qu'ils sont sapeurs-pompiers, c'est qu'ils le restent !
Très bien !
Nous ne pouvons que soutenir la disposition proposée par M. Proriol qui, même si elle n'est pas adoptée ce soir, sera prise demain par voie réglementaire. Je souligne toutefois que ses effets seront limités. Toutes les campagnes de recrutement faites dans un contexte émotionnel, lié à la chute constatée des effectifs, donnent des résultats, ma...
Il fallait oser !
C'est pourtant le cas !
Il n'y a qu'à Marseille que l'on voit ça !
Leurs centres de secours ne sont pas appelés. (L'amendement n° 37 est adopté.)
Je veux tout d'abord, comme chacun l'a fait, rendre hommage aux sapeurs-pompiers. Nous mesurons tous les risques qu'ils prennent et qui peuvent conduire à des accidents dramatiques, comme nous avons pu le déplorer dernièrement lors d'incendies de forêt où des sapeurs-pompiers sont morts dans un véhicule encerclé par les flammes. Surtout, je ve...
Ceux-là veulent la loi du talion ! C'est de l'émotionnel, vous le savez bien !
Vous ne pouvez pas dire que je n'étais pas sur le terrain : j'ai accompagné le SDIS de mon département lors de ses interventions dans les Bouches-du-Rhône !
Ces centres de secours ne sont pas appelés, car ils ne sont pas opérationnels ; ils n'ont pas le matériel.
Ils travaillent plus pour gagner moins !
Il y a derrière cet accord une évidente arrière-pensée économique qui se comprend parfaitement. Cela étant, on assiste à un rajeunissement important des cadres et des dirigeants, qui sont systématiquement formés aux Etats-Unis. Vu la situation en Arabie saoudite, le réflexe ne sera-t-il pas de se tourner vers les Etats-Unis avant la France et n...