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Nous avons reçu un texte du Gouvernement, d'une centaine de pages, que le rapporteur général s'est empressé de réécrire. Et vous n'avez toujours pas bouclé votre accord parce que vous êtes incapables de le faire. Vous savez très bien que vous êtes devant une énorme difficulté.
Nous vous mettons face à vos responsabilités. Plutôt que de vous voir continuer à improviser, comme vous êtes en train de le faire, nous vous demandons un délai, non pas un délai de grâce, mais un délai pour travailler. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Nous vous mettons face à vos responsabilités. Plutôt que de vous voir continuer à improviser, comme vous êtes en train de le faire, nous vous demandons un délai, non pas un délai de grâce, mais un délai pour travailler. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Donnez-vous six mois supplémentaires pour qu'ensemble, majorité et opposition, nous puissions faire une vraie réforme, une réforme efficace, une réforme juste ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Donnez-vous six mois supplémentaires pour qu'ensemble, majorité et opposition, nous puissions faire une vraie réforme, une réforme efficace, une réforme juste ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Franchement, madame la présidente, vous ne pouvez pas répondre ce que vous avez répondu : vous ne pouvez pas prétendre que c'est la Constitution qui conduit à introduire des conditions de travail totalement dégradées, pour ne pas dire dégradantes pour le Parlement et sa crédibilité ! On s'interroge sur l'absence des députés. On pourrait imagin...
Dans le prolongement de ce que je disais ce matin en conférence des présidents et dont M. le président de l'Assemblée nationale, absent, avait été informé, je demande que l'on se penche sérieusement, au cours des prochaines semaines, sur les conditions de travail de l'Assemblée nationale. On pourra dire tout ce que l'on voudra, vanter les mérit...
Ce que vous avez dit, monsieur Chartier, est inadmissible. On nous a vanté une réforme donnant de nouveaux droits au Parlement, mais je les cherche en vain. Je constate, en revanche, un mépris de l'opposition, auquel vous-même avez contribué jeudi dernier. Je ne vous ai pas vu, alors, débattre avec nous. Vous prétendez sans cesse que l'opposi...
Il aurait mieux fait de nous écouter !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Je souhaite faire observer à M. le président de la commission qu'une fois de plus, la prétendue revalorisation du rôle du Parlement « l'hyper-Parlement » face à « l'hyper-Président » ne correspond à aucune réalité. Comme à chaque fois que le groupe socialiste dépose une proposition de loi, la majorité la traite par le mépris et utilise des ...
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je vais demander une suspension de séance pour réunir mon groupe, car il y a quelque chose de choquant dans cette journée. Il y a trois députés UMP, cinq au maximum en séance, avec pour consigne de ne pas participer au débat ; un secrétaire d'État qui dit non à tout ; et...
C'est du Juppé dans le texte !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Les députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, que je viens de réunir, sont, je le dis avec calme et force, indignés par la manière dont les membres de la majorité UMP et le Gouvernement traitent la représentation nationale. (Protestations sur les bancs du groupe UMP. Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Le rapporteur vient de dire son sentiment. Il a rappelé les propositions de fond que nous défendons depuis ce matin. Proposer de supprimer le crédit revolving, est-ce scandaleux, après l'affaire des subprimes et au moment où la crise financière, économique et sociale frappe notre pays et le monde entier ? La majorité fait des discours, mais ell...
présidé par M. Méhaignerie, par ailleurs président de la commission des affaires sociales, qui, jusqu'à présent, a refusé à Marisol Touraine la création d'une mission d'information, au prétexte qu'il manquait de moyens et ne disposait pas d'un nombre suffisant d'administrateurs. Aujourd'hui, nous comprenons pourquoi : l'esprit partisan de l'UM...
Le président de l'Assemblée nationale, M. Bernard Accoyer, vient de recevoir la délégation du groupe socialiste, radical et citoyen que nous avions constituée, et a entendu notre protestation et notre vive inquiétude. Nous avons exprimé le souhait de voir les choses changer profondément, à commencer sur le plan institutionnel : il ne faut pas ...
Donnez-nous une date, monsieur le ministre !
En réalité, vous ne voulez pas du référendum d'initiative populaire. Cela vous fait peur.