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Compte tenu de l'heure, je ne souhaite pas entrer dans ce débat. Mais je note que les arguments développés aujourd'hui par Jean-François Copé sont l'inverse de ceux qui nous étaient opposés lors de notre précédente réunion. Nous avions alors cité un certain nombre de textes, dont la loi TEPA, et vous aviez critiqué le choix d'un sujet trop poli...
La dernière fois, l'expression « inégalités sociales » ne figurait pas dans l'intitulé de notre proposition.
Nous estimons que si.
Il est intéressant de vous entendre dire que les thèmes proposés par l'opposition sont toujours politiques. Pour ma part, je ne qualifierais pas ceux de la majorité de « non-politiques ».
Si les thèmes proposés par l'opposition sont politiques, les vôtres le sont aussi. M. Goasguen prétend en outre que nos thèmes seraient polémiques.
Nous tournons en rond. La première fois, on nous a dit que le sujet que nous proposions n'avait pas un caractère transversal. Nous en avons tenu compte. Aujourd'hui, on nous dit qu'il faudrait évaluer la loi TEPA. Que nous dira-t-on la prochaine fois ? Que la loi TEPA est de la compétence de la commission des finances, et donc pas du CEC ? Je ...
Et vous, que faites-vous ? Quand Jean-François Copé dit quelque chose, c'est bien, mais quand l'opposition parle, c'est polémique !
Il est préférable de remettre cette discussion ; nous souhaitons, monsieur le Président, que ce point soit placé en tête de l'ordre du jour de notre prochaine séance. Je répète que nous ne considérons pas que le droit de tirage du groupe SRC est épuisé par le choix des AAI comme sujet d'étude.
Nous sommes tous conscients de l'importance de l'évaluation des politiques publiques. Le comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques insiste particulièrement sur ce point. S'agissant des franchises médicales, le rapport portant sur les années 2008 et 2009 retrace les montants et la destination des sommes en jeu, mais reste muet ...
Nous sommes tous conscients de l'importance de l'évaluation des politiques publiques. Le comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques insiste particulièrement sur ce point. S'agissant des franchises médicales, le rapport portant sur les années 2008 et 2009 retrace les montants et la destination des sommes en jeu, mais reste muet ...
Bonjour et merci, monsieur Lamy, d'être venu jusqu'à nous. Je vous prie d'excuser l'absence du coprésident de notre mission, Pierre Morange, qui participe à un colloque. L'objet de nos travaux, aujourd'hui, est le fonctionnement de l'hôpital : vaste programme, qui nous a poussés à partir de cas concrets pour en tirer des enseignements généralis...
Sur quel genre de point votre désaccord pouvait-il porter ?
Mais cela peut-il être mis en évidence ?
Ces difficultés n'expliquent pas vraiment comment la fusion de deux centres hospitaliers à peu près similaires, l'un au budget équilibré et l'autre presque, a pu aboutir à un établissement lourdement déficitaire.
Qui bouchait le trou à la fin de l'année.
Vous êtes aujourd'hui le président de l'établissement. Il y a un nouveau directeur général. Un contrat d'objectifs et de moyens a été signé, même s'il prévoit un déficit récurrent. Comment pensez-vous améliorer les choses ?
Peut-être aussi le vote à bulletin secret a-t-il pris tout son sens
Le rapport de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) est édifiant !
Aujourd'hui, la fusion au sens d'élimination des doublons se poursuit et vous avez des perspectives d'installation sur un site unique, à Chambourcy. Cela ne serait-il pas le remède à un certain nombre de dysfonctionnements ?
Monsieur le maire, nous vous remercions. La Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (MECSS) procède ensuite à l'audition, sous forme de table ronde, de responsables de pôles médicaux et du président de la commission médicale d'établissement du Centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-e...