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Les amendements de Jean-François Copé pour ce dossier

61 interventions trouvées.

Monsieur le président, ma question s'adresse à M. le Premier ministre. La crise économique que traverse notre continent, l'Europe, et notre pays, la France, génère et c'est naturel beaucoup de préoccupations chez un grand nombre de nos compatriotes. Mais les crises sont aussi des révélateurs de tempéraments pour les dirigeants politiques....

Au nom du groupe de l'UMP, je tiens à saluer le sang-froid dont font preuve le Président de la République et notre Gouvernement dans cette période. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Les Français ont une exigence de vérité. À l'occasion de cette crise, nous changeons d'époque, des décisions devront être prises concernant l'emploi,...

De ce point de vue, comme beaucoup, j'ai été choqué par la délectation avec laquelle M. Hollande a accueilli l'annonce de la dégradation de la France par l'agence Standard and Poor's. J'ai été, comme beaucoup, indigné de voir M. Hollande, depuis les Antilles, (Protestations sur les bancs du groupe SRC.) dans une salle, il est vrai, à moitié vide

penser que ce qui est une mauvaise nouvelle pour la France serait une bonne nouvelle pour lui ! (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC.)

Je m'inquiète de voir M. Hollande s'étouffer dans ses contradictions. Et vos hurlements en sont une belle illustration. Lorsque la France est dégradée par Standard and Poor's, ce serait à cause de Nicolas Sarkozy ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Huées sur les bancs du groupe SRC.)

Monsieur le ministre de l'intérieur, l'article 10 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que nul ne doit être inquiété pour ses opinions (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

tandis que l'article 3 de la Constitution de la Ve République rappelle que le suffrage est toujours universel, égal et secret. Personne n'a de raisons de contester l'initiative, de la part d'un grand parti politique comme le parti socialiste, d'organiser des élections internes, en son sein, pour désigner son candidat à l'élection présidentiel...

Nous avons en effet entendu que les listes électorales, qui sont d'ailleurs accessibles de droit, seraient détruites après le vote ; mais rien n'est dit des garanties pendant le déroulement de ce vote. Or il sera possible de recenser ceux qui auront été voter, et d'en déduire ceux qui n'y seront pas allés ; en clair, il y a là un problème de li...

Monsieur le président, il n'est pas courant que j'intervienne dans deux séances consécutives pour interroger le Gouvernement, mais la gravité de la situation l'exige. Hier, à ce même micro, j'ai évoqué le malaise que suscitait dans les rangs de notre groupe UMP le silence du Parti socialiste devant la perspective de voir des lycéens manifester...

Ensuite parce que c'est, de la part du Parti socialiste, parti de Gouvernement, un nouveau signal d'irresponsabilité. (Approbations sur les bancs du groupe UMP.) Je vous demande donc solennellement, monsieur Ayrault, de désapprouver les propos de Mme Royal, dont la gravité commande une réaction de votre part. (Applaudissements sur les bancs du ...

Monsieur le Premier ministre, dans le processus de la réforme des retraites, nous sommes à un moment de vérité. Cette réforme a un objectif : sauver le système des retraites pour nous et pour nos enfants. Nous sommes au rendez-vous parce qu'il le fallait, et, dès le premier jour, nous avons été clairs, cohérents et transparents. (Exclamations s...

Monsieur le président, il n'est pas d'usage que, à l'occasion d'une séance de questions au Gouvernement, je me substitue à l'un de mes amis députés, en l'occurrence Gérard Cherpion, qui devait poser une question importante sur l'emploi. Si je le fais, c'est pour élever ici, au nom de notre groupe, une protestation très calme, mais très solennel...

Bien loin de l'Assemblée de dialogue, monsieur Accoyer, nous avons entendu des injures, des clameurs, et les députés communistes nouvelle manière ont eu, vis-à-vis du ministre du travail et du Premier ministre, un comportement qui nous a quelque peu surpris. Si nous travaillons, tous autant que nous sommes, c'est au service de la France. Chaqu...

Mais je ne voudrais pas que les communistes imaginent que nous allons laisser passer cette occasion pour rappeler que les résultats de l'emploi en France se sont améliorés grâce à la croissance, grâce au travail des Français et grâce à la politique économique que nous menons. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Je souhaiterais,...

Monsieur le Premier ministre, le week-end dernier, la France et l'ensemble de ses partenaires européens ont été confrontés à une crise monétaire extrêmement grave. Je veux ici, au nom de mon groupe, saluer l'action déterminante conduite par le Président de la République. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Chacun sait le rôl...

Ce que nous avons vécu ce week-end rappelait singulièrement la crise financière et bancaire d'il y a dix-huit mois. Et sur ce point, après avoir entendu les commentaires de nombreux Français ces dernières semaines, beaucoup nous disent que finalement, nous avions trouvé des solutions dans l'urgence, mais que certaines pratiques bancaires sont e...

Nous ferons sur ce point des propositions, et je serais très heureux de savoir si de votre côté, vous êtes partant pour qu'avant le G20, la France puisse faire des propositions fortes pour que demain, des leçons soient tirées de la crise très grave que nous venons de subir. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)

Monsieur le Premier ministre, au lendemain de la sévère défaite qu'a connue notre majorité à l'occasion des élections régionales,

nous devons, comme cela doit se faire en pareille circonstance, tirer rapidement les leçons des messages qui nous ont été adressés par les Français. C'est un rendez-vous d'humilité, de vérité mais aussi de détermination. Notre mission est à présent d'identifier ce que doit être dans les prochaines semaines le nouveau pacte majoritaire, au ser...

Notre conviction est que, d'ici à deux ans, les Français attendent de notre majorité un bilan des actions que nous aurons conduites : en clair, des résultats. Du côté de la gauche également, un rendez-vous est attendu par les Français, et il sera d'ailleurs intéressant d'en faire la confrontation.