7071 interventions trouvées.
On s'est sans doute conformé aux dispositions relatives à la grippe H5N1.
Ce n'est pas ce qu'on nous a expliqué jusqu'à présent.
Je pense que c'est extérieur au problème de la Commission.
Ce n'était pas une réticence : c'était une interdiction qu'on leur avait faite.
De la même façon qu'on a toujours vacciné sans bons à certains endroits.
Nous entendrons les représentants de la Caisse nationale d'assurance maladie avec plaisir !
Sauf que le vaccin n'était pas disponible.
Je me souviens qu'on indiquait, à l'époque, qu'il fallait trois semaines ou un mois de décalage entre les deux injections.
La campagne de publicité autour de la vaccination contre la grippe saisonnière a en effet été avancée début septembre, étant indiqué qu'il fallait un délai trois semaines entre les deux vaccinations. Monsieur Philippe Gaertner, votre réseau de pharmacies aurait-il pu servir de relais ? Comment le dispositif aurait-il pu fonctionner ?
Vous avez eu le souvenir que quelqu'un vous ait dit cela ?
Mais qui ? Un représentant du ministère de la santé, du ministère de l'intérieur ?
Après tout, si les représentants de l'État qui étaient présents appartenaient bien au ministère de la santé et pas à celui de l'intérieur, un sous-préfet aurait pu poser la question !
Pourquoi cela a-t-il mieux fonctionné dans le Rhône qu'à d'autres endroits ? Et si le Rhône a été un exemple, autant en tirer profit.
De ce que j'entends aujourd'hui, l'Ordre et les syndicats ont une position très différente sur la question de savoir si l'on aurait dû pouvoir se faire vacciner chez les médecins libéraux.
Des étudiants en médecine sont-ils disposés à témoigner par écrit du fait qu'ils auraient été contactés par des sociétés privées pour être réquisitionnés par l'État ?
Je vous demande de faire parvenir à l'Assemblée, à la présidence de la Commission d'enquête, des témoignages d'étudiants en médecine qui auraient été réquisitionnés, pour le compte de l'État, par des sociétés privées.
Pour moi, c'est la même chose. Mais de quelles sociétés privées s'agissait-il ?
À quel endroit ? Dans quels départements ? Quelles sociétés ?
Et éventuellement d'indiquer de quelles sociétés privées il s'agissait, s'ils s'en souviennent.
Si dix étudiants témoignent qu'ils ont été appelés par des sociétés privées, on peut se dire qu'il y a eu un problème.